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  • 21 Catactéristiques d'une âme qui s'éveille



    Peut-être est-ce à cause du changement de conscience global, une destiné à laquelle nous sommes arrivés à cause d’une évolution spirituelle, ou le résultat de temps étranges, mais de nombreuses personnes, partout dans le monde, traversent d’intenses changements personnels et ressentent une expansion de conscience. Des changements personnels de cette magnitude peuvent être difficiles à reconnaître et à comprendre, mais voici 21 caractéristiques d’une âme qui s’éveille, d’une personne « sensitive » ou d’une personne « empathique » (quelqu’un qui ressent les émotions des autres).

    1. Le fait d’être dans des endroits publics peut quelquefois être accablant. Puisque les murs entre nous et les autres se dissolvent, nous n’avons pas tout à fait appris comment distinguer l’énergie des autres et la nôtre. Si l’humeur générale de la foule est semblable à celle d’un troupeau ou est négative, nous le ressentons intensément et nous voulons nous retirer dans notre propre espace privé. Lorsque nous avons rechargé nos piles, avec la méditation, en passant du temps dans la nature, loin des autres personnes, ou lorsque nous nous assoyons simplement en contemplation tranquille, nous sommes prêts alors à retourner dans la foule. Dans les relations personnelles, nous ressentons souvent les émotions de l’autre comme si elles étaient nôtres. Il est important d’avoir un sens élevé d’empathie, mais nous devons apprendre à permettre à l’autre d’avoir des émotions, tout en les observant et en gardant notre empathie mais, il faut réaliser que ce ne sont pas toutes les émotions qui nous appartiennent. L’influence sociale peut affaiblir notre propre sagesse innée.

    2. Nous « savons » des choses, sans les comprendre intellectuellement. Cela est souvent appelé conscience intuitive, nous avons des moments de perspicacité qui peuvent expliquer les plus complexes des théories ou des phénomènes dans le monde. Quelques-uns des esprits les plus brillants de notre temps … « savent » … tout simplement. Les adeptes et les sages ont souvent reçu de l’information, venant des états élevés de conscience, après avoir médité ou simplement en étant en présence d’un individu plus conscient ; cela arrive à beaucoup plus de gens et de plus en plus fréquemment. Au fur et à mesure que nous faisons confiance à notre intuition, cela devient de plus en plus fort. C’est le temps de « penser » avec notre cœur, plus qu’avec notre tête. Notre intuition ne peut plus être ignorée. Nos rêves deviennent prémonitoires et éventuellement nos pensées conscientes le deviendront elles aussi.

    3. Le fait de regarder la télévision ou la plupart des médias de masse, incluant les journaux et de nombreux films Hollywood, tout cela devient très désagréable pour nous. La mentalité qui crée une grande partie des émissions de télévision et de films au cinéma, devient odieuse pour nous. Cela transforme les gens et fait la promotion de la violence. Cela réduit notre intelligence et engourdit notre réponse empathique naturelle envers quelqu’un qui souffre.

    4. Nous mentir devient pratiquement impossible. Nous ne savons pas exactement quelle vérité nous est cachée, mais nous pouvons dire (grâce à notre intuition qui se développe et nos talents de perceptions extrasensorielles) que quelque chose cloche. Nous savons aussi quelles autres émotions, sentiments de peur, d’amour ne sont pas exprimées par les autres. Les autres sont comme un livre ouvert pour nous. Malgré le fait que nous n’avons pas d’entraînement, nous sommes observateurs et nous savons. Même s’il n’y a aucun indice physique, nous pouvons regarder les autres dans les yeux et savoir ce qu’ils ressentent.

    5. Nous pouvons « attraper » les symptômes de rhume des autres, tout comme certains hommes ont des nausées matinales, lorsque leur femme est enceinte. La souffrance sympathique, qu’elle soit émotionnelle ou physique, est quelque chose que nous expérimentons souvent. Nous avons tendance à absorber l’émotion à travers le plexus solaire, considéré comme l’endroit où nous emmagasinons l’émotion et lorsque nous sommes en période d’apprentissage pour renforcer ce chakra, il se peut que nous connaissions des problèmes digestifs. Le fait de s’ancrer à la Terre peut aider à rétablir notre centre émotionnel. Une bonne façon de s’ancrer à la Terre est de marcher pieds nus.

    6. Nous avons tendance à prendre parti pour les perdants, pour ceux dont la voix n’est pas entendue, pour ceux qui ont été abattus par la matrice etc. Nous sommes des personnes pleines de compassion et les individus marginaux ont souvent besoin de plus d’amour. Les gens peuvent ressentir nos coeurs aimants, donc il arrive souvent que de parfaits étrangers nous racontent leur vie ou nous soumettent leurs problèmes. Il est bien évident que nous ne voulons pas devenir une décharge publique pour les problèmes de tout le monde, mais nous sommes des personnes qui avons une bonne écoute pour les gens ayant des problèmes.

    7. Si nous n’apprenons pas à établir nos propres limites, nous pouvons nous fatiguer facilement de porter les émotions des autres. Les vampires d’énergie sont attirés par nous, alors nous devons être très vigilants, en nous protégeant de temps en temps.

    8. Malheureusement, de nombreuses personnes sensitives ou empathiques se tournent vers l’abus de drogue ou d’alcool, afin de bloquer un peu leurs émotions et de se «protéger » pour ne pas ressentir la souffrance des autres.

    9. Nous devenons tous des guérisseurs. Nous sommes attirés vers les modes de guérison tels que l’acupuncture, le Reiki, le Qi-Gong, le yoga, les massages ou le travail des sages-femmes etc. Nous connaissons le besoin collectif d’être guéri, alors nous faisons de notre mieux pour offrir la guérison, de la meilleure façon que nous pouvons. Nous nous éloignons aussi des formes « traditionnelles » de guérison pour nous-mêmes. Nous préférons les aliments naturels, les herbes et la médecine holistique pour nous guérir de tout malaise.

    10. Nous voyons les potentiels, avant que les autres les voient. Tout comme l’Église a dit à Copernic qu’il avait tort, mais qu’il a maintenu sa théorie héliocentrique, nous savons ce que les masses refusent de croire. Nos esprits sont des années-lumière en avance.

    11. Nous sommes créatifs. Nous chantons, nous dansons, nous peignons, nous inventons ou nous écrivons. Nous avons une imagination étonnante.

    12. Nous avons besoin de beaucoup plus de solitude que la moyenne des gens.

    13. Nous pouvons nous ennuyer facilement, mais nous sommes parfaitement capables de nous amuser nous-mêmes.

    14. Nous avons de la difficulté à faire les choses que nous ne voulons pas faire ou que nous n’aimons pas faire. Nous croyons vraiment que la vie doit être une expression de joie. Pourquoi gaspiller du temps à faire quelque chose que vous détestez ? Nous ne sommes pas paresseux, nous sommes perspicaces.

    15. Nous avons l’obsession de mettre la vérité en lumière. Tout comme les enfants qui disent, « ce n’est pas juste » nous voulons corriger les injustices du monde et nous croyons que, très souvent, cela ne nécessite que de l’éducation. Nous tâchons d’expliquer l’inexplicable et nous trouvons des réponses aux questions profondes de la vie. Nous sommes des chercheurs dans le paradigme « Campbellien » : « The Hero With a Thousand Faces ».

    16. Nous avons de la difficulté avec le temps. Notre imagination prend souvent le dessus et une journée peut être ressentie comme une minute, une semaine ou … une journée.

    17. Nous détestons la routine.

    18. Nous sommes souvent en désaccord avec l’autorité (pour des raisons évidentes).

    19. Nous sommes souvent gentils, mais si les gens sont égoïstes ou impolis, nous ne passons pas de temps avec eux ou nous trouvons une excuse pour ne pas être en compagnie de gens qui sont obsédés par eux-mêmes. Nous ne comprenons pas les gens qui sont insensibles aux sentiments des autres ou au point de vue des autres.

    20. Il se peut que nous soyons végétariens, parce que nous ressentons une certaine énergie dans les aliments que nous mangeons, nous ressentons aussi si un animal a été tué de façon inhumaine. Nous ne voulons pas consommer d’énergie négative.

    21. Nous affichons nos émotions et nous avons de la difficulté à « prétendre » être heureux, si nous ne le sommes pas. Nous évitons la confrontation, mais nous changeons doucement le monde, sans que les autres s’en aperçoivent.

    Ces 21 caractéristiques démontrent à quel point il est important de maintenir notre conscience, notre clarté et notre force présentement.

    Au sujet de l’auteur

    Christina Sarich et une musicienne, un yogi, humanitaire et écrivaine qui canalise de nombreuses heures d’études de Lao-Tseu, de Paramahansa Yognanda, Rob Brezny, Miles Davis et Tom Robbins en informations intéressantes, afin de vous aider à Éveiller Vos Têtes Endormies et à voir la Grande Perspective. Son blog est : http://yogaforthenewworld.com/ et son tout récent livre est « Pharma Sutra » : Guérison du corps et de l’esprit par l’art du yoga.

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  • Le pardon libère



    « Le pardon fait partie de tout ce que vous avez à changer en vous ; sans le pardon pour vous-même et pour ceux qui ont pu vous blesser, vous n’arriverez pas à atteindre le taux vibratoire que nous souhaitons que vous atteignez.

    Le pardon libère, il libère celui à qui vous avez pardonné et qui, d’une certaine manière, a pu vous nuire, et il vous libère également de la souffrance qu’il a pu vous créer volontairement ou involontairement.

    La pardon est une force, c’est une facette de l’Amour indispensable pour votre avancement.

    Lorsque vous pardonnez totalement à une personne qui vous a fait souffrir, vous vous libérez non seulement d’un enchaînement qui vous lie à elle, mais vous la libérez également de cet enchaînement.

    Le pardon, comme l’Amour, relie les êtres. Le non-pardon les sépare, mais d’une certaine manière les relie dans une vibration beaucoup plus basse.

    Il arrivera un moment où vous n’aurez même plus à pardonner, ni à vous, ni aux autres, car vous n’aurez plus aucune pensée inférieure. Vous aurez compris qu’aucune personne ne peut vous nuire si vous n’ouvrez pas les portes.

    Si vous êtes toujours centré dans votre cœur, si vous êtes toujours dans la Vibration Amour, il n’y a plus besoin de pardon parce que personne ne peut vous atteindre et que vous ne nuisez à personne, que ce soit à vous ou aux autres.

    Nous aimerions tellement vos faire comprendre ce qu’est une montée vibratoire et comment vous alléger, mais souvent les êtres humains parlent, et ils parlent si mal ! Ils ne savent pas qu’une parole est une énergie, ils ne savent pas que la parole crée ! Ils s’en doutent, certes, mais ils ne se rendent pas compte à quel point une parole a de l’importance.

    Bien sûr, vous pouvez échanger entre vous, bien sûr la communication est importante, mais lorsque vous communiquez évitez tout ce qui n’est pas utile, tout ce qui vous freine et fait baisser votre fréquence vibratoire.

    Parlez de belles choses, échangez sur ce qui peut vous élever, échangez sur la beauté, sur l’Amour, sur la fraternité, sur la sagesse, sur tout ce qui vous rapproche et non sur tout ce qui peut vous séparer.

    Petit à petit beaucoup de choses feront jour en vous, et vous saurez ce qui est utile et ce qui ne l’est pas, vous comprendrez ce qui peut vous aider considérablement et ce qui peut vous freiner .

    Vous êtes tous réellement devant votre propre porte de Lumière et il suffit de peu de choses pour que vous puissiez l’ouvrir, pour que vous puissiez réellement passer à un niveau de conscience qui vous mène à une autre réalité de vous-même. »

    Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :

    qu’il ne soit pas coupé
    qu’il n’y ait aucune modification de contenu
    que vous fassiez référence à notre site http://ducielalaterre.org
    que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu

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  • Les Douze Portes Ascensionnelles




    1ere porte : Porte de la Naissance


    Cette première porte est celle de l’expérience physique de troisième dimension. Elle est franchie dans un sens à la naissance et dans l’autre au moment de la séparation du corps ou mort physique.

    Cette porte nécessite la pleine acceptation de ce qui est vécu et des expériences correspondantes. Elle est associée à la couleur rouge et au premier chakra « racine » (plexus sacré).

    2eme porte : Porte de la Sagesse

    La seconde porte est celle de l’expérience émotionnelle, associée aux désirs et aux ressentis. Elle est caractéristique de l’enfance, car la véritable sagesse vient du coeur.

    Cette porte représente la capacité à « être », dans l’instant. Elle est associée à la couleur orange et au second chakra (plexus mésentérique).

    3eme porte : Porte de la Connaissance


    La troisième porte représente l’expérience cognitive, qui permet de comprendre les lois physiques de la création. Elle est associée aux schémas de pensée, à la parole, ainsi qu’à toutes formes d’expressions ou de représentations graphiques ou mnésiques.

    Elle permet d’exercer une activité créatrice « seconde », à partir de la compréhension des lois universelles de la Nature et leur utilisation à dessein d’expérimentation et d’évolution. Cette porte est associée à la couleur jaune et au troisième chakra (plexus solaire).

    4eme porte : Porte de la Conscience

    Les trois premières portes sont fondatrices de l’ego, liées aux capacités énergétiques physiques, émotionnelles et psychiques de l’être humain, en tant « qu’acteur » sur la Terre.

    La quatrième porte représente une « ouverture » en direction de « l’observateur » intérieur, en amont (source) et en aval (spectateur) de l’expérience vécue.

    La quatrième porte représente une porte intermédiaire, dont l’ouverture est obtenue par détachement (recul) et « lâcher prise » de l’expérience terrestre vécue. Cette porte est associée à la couleur verte et au quatrième chakra (plexus cardiaque).

    5eme porte : Porte du coeur

    La cinquième porte représente le passage d’une conscience fondée sur l’ego et la toute puissance de l’esprit, à une conscience fondée sur le coeur et la toute puissance de l’amour. L’esprit, à l’image du feu est exclusif, tandis que le coeur, à l’image de l’eau, est inclusif. Ces deux aspects, en l’être humain, paraissent antinomiques. La cinquième porte représente donc un retournement de conscience, de l’esprit vers le coeur, ou de la connaissance « réflexive » vers la « véritable » sagesse.

    L’ouverture de la cinquième porte permet le développement de l’intuition (écoute) et de la parole « entendue ». Elle est associée à la couleur bleue et au cinquième chakra (plexus laryngé). Elle correspond à ce qui est parfois appelé « l’ouverture de la gorge », la parole du coeur se trouvant à ce stade libérée du refoulement et pouvant de nouveau s’exprimer.

    6eme porte : Porte du subconscient


    L’ouverture de la sixième porte libère la mémoire enfouie dans le subconscient. Cette étape peut s’avérer difficile, sinon douloureuse, lorsque des mémoires égotiques ou traumatiques refoulées demandent à être traitées en conscience. Ces mémoires doivent être reçues et acceptées pour assimilation ou « sublimation » des contenus correspondants.

    Cette porte implique compassion et humilité tant vis-à-vis de soi-même que dans les projections ou relations extérieures. Elle est associée à la couleur violette et au sixième chakra (plexus cervical). C’est une porte de nettoyage.

    7eme porte : Porte du Ciel

    La septième porte représente l’ouverture de la lumière (illumination), qui donne accès au monde spirituel. La lumière reçue porte en elle les germes de la guérison physique et psychique, grâce à l’énergie solaire (vitale) et aux informations (codes cristallins) qu’elle contient.

    L’ouverture spirituelle implique une remise en cause des limites physiques, émotionnelles et psychiques de l’expérience terrestre. Elle est associée à la couleur blanche et au septième chakra (plexus coronal).

    8eme porte : Porte Astrale (« lunaire »)

    La lumière donne accès à d’autres sphères de la réalité, en même temps qu’elle renforce les impulsions égotiques. Les images et représentations psychiques relèvent de plusieurs dimensions.

    La connexion à la lumière implique une discipline visant à maîtriser les impulsions égotiques et de basses fréquences, ainsi qu’à demeurer « centré » pour recevoir les vibrations les plus hautes. La huitième porte est associée à la couleur pourpre et au huitième chakra (plexus frontal, au dessus du troisième oeil, donnant accès aux domaines « lunaires » invisibles).

    9eme porte : Porte de l’Âme (« stellaire »)

    La neuvième porte représente celle de la fusion avec l’Âme. Elle marque l’accomplissement du cycle karmique et le passage au monde de l’Esprit « Saint ».

    Cette porte implique la réintégration des composantes multidimensionnelles de l’individualité. Elle est associée à la couleur indigo et au neuvième chakra (plexus stellaire, au creux de la nuque, donnant accès aux énergies stellaires ou cosmiques)

    10eme porte : Porte de l’Esprit

    La dixième porte représente la réunification consciente, dans la lumière, des composantes multidimensionnelles en une unité synthétique plurielle et harmonieuse. Elle représente l’étape de la réalisation ou de la recomposition de « Soi » ou du « Je Suis ».

    Cette porte implique l’abandon de la composante terrestre tridimensionnelle, au profit d’une conscience multidimensionnelle source. Elle est associée à la couleur chartreuse (vert pomme) et au dixième chakra (plexus de liaison aurique, au niveau du sternum, également associé au « Merkaba » et aux possibilités de voyager dans l’espace).

    11eme porte : Porte de la Matrice (Père / Mère) ou du « Retournement »

    La onzième porte précède la renaissance dans la lumière. Elle représente un « passage » dans la nuit obscure qui précède une nouvelle naissance.

    Cette porte implique la disparition (mort) de l’environnement tridimensionnel et la transition vers une dimension supérieure de l’existence. Elle est associée à la couleur or et au onzième chakra (plexus de liaison solaire, un peu en dessous du plexus solaire, initiant le processus ascensionnel)

    12eme porte : Porte de la Renaissance ou de l’Ascension

    La douzième porte représente l’installation dans la « Nouvelle Conscience » multidimensionnelle. Elle est la porte de l’Ascension dans un corps de lumière régénéré.

    Cette porte implique un changement dimensionnel et l’entrée dans un nouveau cycle de l’existence. Elle est associée à la couleur rouge écarlate et au douzième chakra (plexus d’harmonisation et d’adaptation de l’énergie vitale, situé entre le chakra racine et le « hara »).

    C’est donc dans les entrailles de la Terre ou du « ventre », que le miracle ascensionnel se produit, associé à une nouvelle naissance, dans le monde ou espace psychique, dès lors perçu comme un autre aspect, ou dimension, de l’espace physique.

    13eme porte : Porte de l’Immortalité

    La treizième porte représente l’accomplissement de l’ensemble du processus. Les êtres « immortels » ont accompli le cycle complet, en partant de l’incarnation, jusqu’à pouvoir transformer leur corps physique pour atteindre l’immortalité. Ils diffèrent en cela des êtres angéliques qui disposent a priori de cette faculté, n’étant pas dotés d’un corps physique, mais éthérique.

    Pour l’être humain, la porte de l’immortalité peut être franchie lorsque l’ADN a recouvré la totalité de ses potentialités en base douze, pour aboutir à la réalisation complète de la lumière, en partant de l’expérience terrestre. Le treize se constitue par unification du douze. La couleur du treize est celle de la lumière elle-même, dans toute son étendue chromatique. Le treizième chakra est localisé au centre des cercles de lumière, soit au niveau du coeur, centre de toutes les connexions.


    Les 12 portes de l'Ascension





    http://terrenouvelle.ca/Messages/2013/12/02/les-douze-portes-ascensionnelles/

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  • Les filtres et la manifestation - Simon Leclerc





    Salutations à tous,

    Me revoilà, de nouveau disponible, pour partager avec vous un nouveau volet des enseignements que j’ai pu intégrer au cours de mon cheminement spirituel et de ma pratique d’accompagnement individuel des dernières années. Aujourd’hui, j’aimerais échanger avec vous sur le thème de la manifestation, en lien avec les filtres que nous portons tous, consciemment ou inconsciemment, à des degrés divers.

    Mon travail m’amène à entendre les gens me présenter leur univers personnel. Je vois comment ils perçoivent la vie à travers les événements qu’ils manifestent dans leur quotidien. En observant ces situations, je comprends ce que sont leurs émanations, je vois ce qu’ils projettent d’eux vers le monde extérieur.

    Nous sommes tous des créateurs. À chaque instant de notre vie, nous participons à modeler notre futur à l’image de nos émanations présentes. Que nous en soyons conscients ou non, nous créons notre vie à chaque instant. Ce processus est sans fin, il est ce que nous sommes, c’est notre nature divine en mouvement.

    L’ennui est que plusieurs aspects de nous créent en parallèle, selon des réalités et des enjeux qui leur sont propres. Cela amène une confusion dans nos émanations, un peu comme des êtres qui rament en sens inverse dans une embarcation. Le bateau avance, mais la direction est incertaine. Cet énoncé concerne d’abord et avant tout les corps émotionnel et mental, souvent associés à l’enfant intérieur, qui fonctionnent différemment de la conscience. Comprendre leur réalité permet de reprendre la direction du navire, car au lieu de subir leur réalité, nous pouvons les accompagner vers leur guérison, leur transformation et leur élévation.

    L’impuissance

    Depuis le début de mon cheminement spirituel, je n’ai personnellement jamais rencontré un être réellement impuissant. L’impuissance, si souvent ressentie par les gens qui essaient «très fort» de changer leur vie mais qui n’y arrivent pas, est en soit l’une des expressions les plus évidentes de ce pouvoir qui habite chacun d’entre nous.

    Mon rôle d’accompagnant consiste à créer un pont entre l’inconscient et la conscience, pour faciliter une circulation énergétique et une transformation des situations plus lourdes. Ceci permet d’amplifier la qualité de la présence à soi-même, et nécessairement, l’amour propre.

    C’est à partir de sa toute-puissance qu’un être peut annuler son propre pouvoir et s’interdire la transformation d’une situation ou d’un état. Aucun être extérieur n’a ce pouvoir. Nous sommes les seuls responsables de tout ce que nous créons dans notre vie, consciemment ou – et c’est surtout là le problème – inconsciemment. Car même si un être n’a plus en main les rênes de sa vie, du moins en apparence, il n’en demeure pas moins l’ultime maître d’œuvre.

    De par son rôle, l’Univers amplifie tout ce qu’un être porte à son attention. Si celui-ci résiste à une situation qu’il veut fuir, l’Univers recevra alors la «commande» d’amplifier l’élément qui crée la résistance, car là est dirigé l’attention de l’être. Consciemment, il aura l’impression de chercher à aller dans une direction, mais inconsciemment, il voudra plutôt fuir ce qui le perturbe. Énergétiquement, cela sollicitera son attention. Même s’il n’en a pas conscience, il participera à maintenir la situation en place jusqu’à ce qu’il transforme son regard sur l’élément qui le perturbe et choisisse de le contempler au lieu de le fuir.

    L’appel ou la fuite

    Puisque la nuance est subtile et souvent inconsciente, comment faire la différence entre un souhait réel d’aller de l’avant et une envie de fuir un élément perturbateur? Par exemple, si je ressens l’élan de créer un nouveau travail dans ma vie, est-ce lié à un appel intérieur profond ou à une situation perturbatrice que je vis dans mon travail actuel et que je cherche à fuir (ex : un patron trop dérangeant)? Pour répondre à cette question, le premier élément à observer est le pouvoir que j’ai à transformer la situation. Suis-je «entendu» dans l’Univers avec ma demande ou ai-je plutôt l’impression que rien ne bouge?

    Si la situation semble stagner, il se peut que je sois simplement invité à la patience, car l’Univers fonctionne par cycles, à l’image des lunes qui deviennent pleines tous les 28 jours. Mais il se peut également que je sois placé devant un élément qui me reflète extérieurement un aspect non pacifié de moi qui cherche ma lumière, qui cherche mon attention. Dans ces conditions, l’Univers ne pourrait collaborer à créer une résolution de la situation sans qu’une guérison n’ait préalablement lieu. Au contraire, il va plutôt amplifier la problématique pour qu’elle ne puisse plus échapper au radar de la conscience. C’est le rôle que l’Âme lui demande de jouer. S’il agissait autrement et tentait de nous «sauver», l’Univers enfreindrait la volonté de l’Âme d’évoluer. Cette dernière cherche à devenir maître de toutes ses émanations, conscientes et inconscientes, et non à satisfaire les désirs de la personnalité.

    L’alliance universelle

    Si l’Univers collaborait à créer une transformation réelle dans des conditions qui ne seraient pas alignées avec les émanations d’un être, le principe même de notre divinité serait en déséquilibre. Car comment pourrions-nous proclamer notre alliance universelle et notre pouvoir créateur si, en même temps, nous n’étions pas responsables de toutes nos émanations? Comment pourrions-nous demander à l’Univers de ne retenir de nous que nos intentions lumineuses, tout en évacuant celles qui nous contrarient. Ce faisant, l’Univers se présenterait comme un juge, dans une dimension conditionnelle et limitée, en assumant notre pouvoir créateur à notre place, pour compenser notre inaptitude à le faire.

    Que nous le voulions ou non, nous sommes tous «condamnés» à redevenir les dieux créateurs que nous sommes, les maîtres souverains de notre existence. Nous ne pouvons échapper à ce destin, car cela est notre nature. Mais puisque le temps n’existe pas au niveau universel, nous sommes les seuls à souffrir du prolongement de la sensation de séparation ressentie. De son côté, l’Univers sait qui nous sommes et il sait que tôt ou tard, nous «reviendrons à la maison». Pour l’Univers, nous n’avons jamais réellement quitté. Seule l’illusion de la séparation nous fait croire l’inverse.

    Nous ne voudrions pas d’un Univers qui réduirait notre pouvoir créateur de façon arbitraire, sous prétexte qu’il est parfois utilisé pour nous piéger et nous limiter. Son rôle n’est pas de nous infantiliser ni de nous prendre en pitié, mais de nous pousser à devenir maîtres de toutes nos émanations et d’en assumer pleinement leurs orientations. Sa façon de nous accompagner dans l’expérience de séparation consiste à nous pousser vers la maîtrise. C’est le mandat que nous lui avons donné.

    Première sensation vécue

    L’incarnation n’est pas accompagnée d’un manuel de l’utilisateur. Qu’on le veuille ou non, la première sensation vécue par tous les êtres qui s’incarnent sur Terre en est une de séparation. Il est impossible de se préparer à cette sensation, elle est un choc pour quiconque s’aventure dans la 3 e dimension. Une fois incarné, le malaise créé par la séparation nous pousse à chercher par tous les moyens à nous unir aux autres.

    La première relation avec ces «autres» est en lien avec les parents biologiques. En construisant notre relation avec eux, et éventuellement avec les autres autour, nous réintroduisons graduellement en nous une sensation d’union. Et le rôle de l’Univers est de collaborer à nous faire ressentir, petit à petit, que nous ne sommes pas séparés, que nous ne l’avons jamais été. Et dans cette sensation d’union avec l’extérieur, l’une des premières choses que nous apprenons est que nos pensées créent, qu’elles ont un impact sur le monde. Cela est LA découverte que tout être est appelé à faire dans l’incarnation, que ce soit dans cette vie ou une autre. C’est ce qui lui permet de comprendre que l’intérieur n’est pas séparé de l’extérieur.

    Cheminement spirituel

    C’est à partir de cette conception unifiée de la vie que ce que nous nommons le «cheminement spirituel» peut prendre réellement forme. Nous apprenons alors que nous faisons partie intégrante d’un univers d’amour unifié, que nous n’en sommes pas séparés. Nous cheminons tous graduellement vers cette réalisation. Mais à partir du moment où ce parcours s’effectue consciemment, il devient le moteur de toutes les ouvertures qui pourront par la suite se mettre en place. Quand nous réalisons que nous influençons l’extérieur par nos émanations, nous voulons découvrir l’énergie qui se cache derrière ce pouvoir, et c’est là que la curiosité laisse place au véritable parcours initiatique.

    Plus le rythme vibratoire planétaire s’accélère – comme c’est le cas actuellement sur Terre – plus le délai entre la pensée et sa manifestation concrète est court. Ainsi, nous sommes de plus en plus exposés au lien qui existe entre nos émanations et leurs répercussions sur l’extérieur. C’est ainsi qu’à sa manière, l’Univers collabore à nous rappeler notre nature de créateurs divins.

    Même si, au départ, nous pouvons avoir l’impression de subir nos pensées parfois destructrices, nous sommes forcés d’en observer les répercussions concrètes. À partir de cette réalisation, nous pouvons choisir d’entreprendre le parcours spirituel qui nous permettra de devenir maîtres de notre vie, en apprenant à orienter consciemment nos pensées, nos émanations.

    Le rôle des parents

    Bien sûr, des parents conscients aideront leurs enfants à le devenir. L’influence extérieure qu’ils représentent est le premier point de contact avec la vie terrestre. Plus l’accueil sera amoureux et inconditionnel, plus l’enfant sera invité à se rappeler de sa nature universelle unifiée, au lieu de chercher à s’adapter à ce que l’on attend de lui pour être aimé. Mais là encore, il faudra reconnaître que nous choisissons nos parents, tout comme nous choisissons une profession où nous pourrons nous épanouir. Quand une Âme se réincarne, son potentiel d’ouverture spirituelle «de naissance» est en lien direct avec l’ouverture qui a été créé dans sa précédente incarnation. S’il est vrai que nous oublions nos vies passées, il existe un fil conducteur qui les relie entre elles. Cela permet aux acquis de suivre d’une incarnation à l’autre. Autrement, il n’y aurait pas d’évolution possible.

    Le choix des parents ne se fait donc pas à partir de la personnalité ni des désirs humains, mais à partir de l’Âme et de ses enjeux d’évolution. Nous choisissons ainsi un milieu d’accueil qui sera favorable aux acquis que nous souhaitons intégrer dans l’incarnation. Les influences reçues, même en bas âge, font donc aussi partie des choix de l’Âme qui les aura magnétisées, en sachant qu’ils serviront son évolution.

    Bien qu’intéressant pour la conscience, l’évolution ne consiste pas à chercher à comprendre pourquoi une situation nous arrive (ou nous est arrivée) – ce qui a parfois tendance à éveiller de la culpabilité ou une sensation d’impuissance – mais plutôt à chercher à la pacifier en transformant son regard sur elle. Au lieu de nous sentir victimes, nous chercherons à nous reconnaître comme étant le créateur de toutes les situations que nous expérimentons, et par le fait même, nous demanderons à être éclairés sur ce que cette situation nous présente. Que me reflète-t-elle de moi-même que je n’arrive pas à voir et qui cherche toute mon attention aujourd’hui?

    Les émotions et le monde extérieur

    Dans mon dernier écrit, j’ai beaucoup parlé du corps émotionnel, souvent associé à l’enfant intérieur, et de la nécessité de le rencontrer comme si nous étions son confident (voir autre texte). Lui permettre d’exprimer les émotions ressenties est la première étape, aussi la plus importante, pour permettre la guérison. Un corps émotionnel en déséquilibre aura nécessairement un impact sur le corps physique et sa vitalité. Dans l’incarnation, avoir une hygiène émotionnelle saine est le premier pas qui conduit un être vers sa maîtrise.

    Lorsqu’une émotion perdure, il faut se poser la question si nous sommes réellement en contact avec elle et notre corps physique durant l’expérience. Je rencontre souvent des gens qui me disent être submergés par des émotions ressenties et avoir l’impression qu’elles n’auront pas de fin. Ils ont l’impression qu’elle n’arrêtera jamais, qu’ils n’en verront jamais la finalité. Comprenons ensemble que ressentir une émotion est une expérience qui ne dure que quelques secondes, une ou deux minutes tout au plus. Au-delà de ce temps, nous ne sommes plus en contact avec elle. Le meilleur moyen pour ne pas sentir une émotion est de «sortir de son corps».

    Être dans son corps

    Vous seriez étonnés de constater combien de gens ne sont pas dans leur corps, même s’ils sont bien vivants et qu’ils respirent. En fait, chacun d’entre nous, à des degrés divers, expérimente des moments où nous ne voulons plus ressentir notre corps physique. L’incarnation nous fait trop souffrir. Si nous n’y sommes pas attentifs, cette situation nous poussera à «commander» à notre force vitale de se dissocier du corps physique. C’est ainsi que nous nous déconnectons du corps sans le savoir, par une envie de ne plus sentir la souffrance qui y est associée. Mais l’ennui est que cela entraîne un cercle vicieux qui empêche l’émotion d’être réellement ressentie, et par le fait même, transmutée. L’être aura alors l’impression de subir son état, et son émotion se stockera dans le corps émotionnel au lieu de circuler en lui. Le plexus solaire sera alors en déséquilibre et un malaise physique se fera sentir, parfois même des vertiges.

    Quand une émotion perdure, pratiquer une respiration profonde, ralentie et soutenue est le meilleur moyen de la faire circuler. Cela amplifie la qualité de présence à soi, à son corps physique, et nécessairement, à son corps émotionnel. C’est le meilleur moyen pour permettre à une émotion d’être transmutée par le feu de son intensité créatrice, symbolisée par le Graal intérieur (centre énergétique situé au niveau du hara, sous le nombril). Il n’est pas nécessaire de focusser sur l’émotion, il faut surtout s’assurer d’être présent à soi durant la rencontre. Le corps émotionnel sait comment relâcher les tensions, il a simplement besoin que nous y soyons présents, que nous l’accompagnions durant le processus.

    Le corps émotionnel est un aspect de nous qui perçoit la vie à travers les sensations. Il n’a pas un cheminement spirituel comme le nôtre, il évolue en parallèle. Son rôle est de ressentir les émotions associées aux expériences vécues, pas d’en comprendre le sens ni l’origine. Il n’interprète pas les expériences d’un point de vue spirituel, il vit les émotions qui y sont associées.

    Cette nuance, en apparence banale, est fondamentale, car elle nous amène à comprendre qu’on ne peut pas intellectualiser le corps émotionnel. Par exemple, on ne peut pas lui expliquer que la violence que l’on a vécue étant jeune était due à un karma que nous avons créé dans une autre vie ou à une blessure que portait notre «bourreau». Notre conscience pourra le comprendre, mais pas le corps émotionnel. Son rôle est de ressentir la vie avec toutes ses nuances, pas de la spiritualiser.

    Tenter de se convaincre


    Si je vous partage ceci, c’est parce que je rencontre souvent des gens qui intellectualisent leur corps émotionnel en essayant de dialoguer avec lui, de le convaincre de se transformer. S’ils se sentent petits, ils voudront se convaincre qu’ils sont grands et surs d’eux. S’ils se sentent vulnérables, ils voudront être forts et puissants, etc. Ils interprètent les expériences ressenties d’un point de vue spirituel, en esquivant les émotions qui y sont associées. Très souvent, la situation qui nous embête camoufle une prise de conscience que nous n’arrivons pas à effectuer. C’est pour cela qu’elle est vécue si intensément.

    Quand nous prenons conscience de notre pouvoir d’influencer l’extérieur, le piège que plusieurs rencontrent est de focusser très fort pour créer un changement souhaité, au lieu de ressentir d’abord les émotions associées à l’impasse qui est expérimentée. «Un être spirituel n’a pas peur, donc pour être spirituel, je dois m’efforcer de ne pas avoir peur, je dois m’en convaincre». Ou encore, «si j’ai vécu ceci, c’est dû à une expérience karmique que je souhaite voir derrière moi maintenant et je prie pour qu’elle soit terminée».

    Toutes ces perspectives sont intéressantes pour la conscience qui évolue, mais le corps émotionnel ne voit pas la vie ainsi. Pour lui, de savoir qu’une situation est karmique ou qu’elle est créée par un conditionnement ne change absolument rien. Si un être a vécu un abus par exemple, son corps émotionnel voudra pleurer l’émotion qui y est associée, pas en comprendre le sens spirituel. Sa contribution à l’expérience consistera à vivre l’émotion qui y est associée pour apprendre et évoluer. C’est sa raison d’être, son mode d’expression.

    Ressentir la vie

    Le corps émotionnel est l’aspect de nous qui nous permet de ressentir la vie et la matière. Sans lui, les levers de soleil et les rires des enfants n’auraient pas la même saveur. C’est aussi l’aspect de nous qui nous permet d’amplifier la manifestation. Pour l’Univers, vivre l’émotion d’être dans une relation amoureuse, même sans partenaire, et vivre une relation amoureuse, c’est la même chose. Plus un être ajoute la contribution de son corps émotionnel à ses visualisations créatrices, plus celles-ci seront amples et leur manifestation sera accélérée. Le corps émotionnel n’est pas l’ennemi de la matière, il est le moyen que nous avons mis en place pour nous permettre de sentir toute l’intensité de la vie en nous et autour. Devenir maître dans l’incarnation implique nécessairement la maîtrise du corps émotionnel.

    Le corps émotionnel n’est pas non plus le nouveau dieu de l’incarnation. Il ne cherche pas à occuper tout l’espace ni à attirer l’attention sur lui. Comme un enfant qui deviendra adulte, il veut trouver SA place et créer une alliance solide avec l’être que nous sommes. Il veut pouvoir partager les sensations ressenties dans les expériences vécues, sans filtre ni retenue. Quand il n’est pas reçu, c’est là qu’il s’ankylose. Il cherchera alors par tous les moyens à se libérer, et la pression intérieure s’intensifiera de plus en plus, comme un enfant qui n’est pas entendu et qui augmentera ses cris. Mais quand il est en équilibre et qu’il peut s’exprimer librement, il voudra accomplir son rôle spécifique.

    Après avoir vécu les émotions associées à une situation, il est intéressant de visiter la dimension spirituelle de l’événement pour en comprendre le sens profond et l’origine. Sans être nécessaire à la guérison, cela est souhaitable si l’être a tendance à se complaire dans un état de victime ou d’impuissance. Mais cette étape doit absolument se présenter APRÈS le rendez-vous avec le corps émotionnel. Car si elle sert à intellectualiser l’émotion, cette dernière ne sera pas vécue pleinement et une «cicatrice énergétique» s’installera dans le corps émotionnel, ce qui aura éventuellement un impact sur le corps physique.

    Quand une situation est vécue, peu importe laquelle, il est fondamental de vivre d’abord l’émotion qui y est associée. Ensuite, l’étape de la résolution pourra se présenter.

    Une émotion ressentie

    Dans un ashram que je connais, le Maître renvoyait parfois des résidents «dans le monde», et certains étaient même chassés «à vie» du temple. Les êtres qui vivaient pleinement les émotions qui s’éveillaient en eux suite à ce «rejet» du Maître étaient souvent rappelés dans les jours qui suivaient. J’étais toujours fasciné d’observer comment on pouvait renvoyer quelqu’un à vie d’un lieu, pour ensuite le rappeler quelques jours après, comme si rien ne s’était produit. Humainement parlant, cela ne faisait aucun sens pour moi. Mais au niveau spirituel, je savais que quelque chose de plus important se déroulait derrière.

    En parallèle à ceci, j’observais que les êtres qui agissaient comme si l’événement était banal, en se disant que le Maître allait de toute façon les rappeler bientôt comme il l’avait fait pour d’autres, n’étaient jamais rappelés. Au lieu d’entrer en contact avec leurs émotions éveillées, ils intellectualisaient l’expérience et rien ne se produisait. Ils étaient vraiment invités à vivre le rejet, et aucune transformation n’était possible tant que l’émotion n’était pas sincèrement et complètement ressentie. On peut se leurrer soi-même, mais on ne peut pas leurrer l’Univers.

    Mon cheminement spirituel m’a amené à distinguer de plus en plus mon corps émotionnel des autres aspects de moi. Je comprends maintenant que cette facette de ma dimension incarnée voit la vie selon son propre univers, selon ses propres balises.

    Il m’arrive souvent aujourd’hui de vivre des émotions comme si j’étais le conducteur d’un train. Je me permets de ressentir toute l’intensité des drames que mes émotions me font ressentir, tout en sachant complètement que je ne suis pas cela. Loin d’être submergé par mes émotions, je deviens plutôt observateur de celles-ci. Elles m’apparaissent comme dans une pièce de théâtre à laquelle je serais à la fois l’acteur principal et le metteur en scène. Quand je vis l’émotion, je suis l’acteur sur la scène, mais en même temps, j’ai conscience d’être le metteur en scène qui observe la situation de l’extérieur. Je me surprends même parfois à penser à autre chose, pendant que je vis l’émotion. Je ressens l’énergie qui se dégage de mon plexus solaire, mais je ne m’y identifie pas. Je ne me déconnecte pas non plus de l’émotion, au contraire, je la vis avec beaucoup de présence et d’intensité. Mais en même temps, je sais qu’elle passera. Elle est énergie en mouvement, force vitale en circulation. Elle est impermanente.

    De son côté, le corps mental, partenaire du corps émotionnel, emmagasine les conditionnements, les décrets et les mémoires cellulaires. Ces deux corps combinés sont responsables de tous les déséquilibres physiques et psychiques dans l’incarnation. En même temps qu’ils affectent la circulation de l’énergie vitale dans le corps physique, ils créent des filtres qui influencent notre réalité extérieure.

    Un échec social

    Dans un récent écrit, j’ai raconté que mon père a fait une faillite personnelle alors que j’étais adolescent. À cette époque, la honte ressentie par cet «échec» social était majeure, surtout pour les hommes qui avaient le rôle d’être les pourvoyeurs de la famille. Ils échouaient alors à remplir leur fonction et comme ils n’avaient pas vraiment de place dans la maison, ils n’avaient plus de rôle à jouer. Cette expérience a plongé mon père dans une dépression importante.

    À cette époque, alors que je n’avais que 13 ans, je partageais la honte que mon père vivait et j’avais décidé que le vol à l’étalage serait la solution pour m’en sortir. Ma «carrière» de voleur n’a pas été très fructueuse, puisque je me suis rapidement fait prendre (quelle bénédiction !), mais derrière cette solution de fortune, se cachait une émotion que je ne voulais pas ressentir. Je voulais me prouver que j’étais capable d’abondance financière pour fuir la honte qui se présentait en moi, associée au fait de ne pas en avoir.

    Devenu jeune adulte, alors que je comprenais désormais la valeur des objets et l’importance de respecter leur propriétaire, j’ai découvert le crédit. Pour moi, cet accès soudain à une forme d’abondance (illusoire) allait devenir LA solution à toute la honte ressentie. Pendant des années, j’ai utilisé le crédit comme de la liquidité, dépensant l’argent de toutes les marges disponibles aussitôt que les limites augmentaient.

    Ma relation avec le crédit était totalement dépourvue de sens critique. Je l’utilisais comme de l’argent comptant, jusqu’au jour où je ne pouvais plus rien obtenir de plus. J’étais rendu au maximum des capacités du système de crédit. Pendant des années par la suite, je ne faisais que payer les montants minimums réclamés, sans jamais pouvoir réduire les soldes. J’ai vécu cette vie en attendant une somme d’argent importante qui n’est jamais venue.

    Un jour, lors de l’une de mes méditations, j’ai commencé à percevoir le croisement énergétique qui existait entre moi et la situation de mon père. J’ai alors compris pourquoi j’avais transformé le crédit en liquidité. Pour moi, c’était ma façon de fuir la honte de ne plus rien posséder. Puisque ma relation avec l’abondance était réactive – je voulais plutôt fuir la pauvreté et la honte qui étaient associées au manque – je n’avais aucune capacité de magnétiser l’abondance réelle dans ma vie. Elle se présentait comme un mirage, une illusion aux apparences trompeuses qui ne visait qu’à camoufler la sensation de pauvreté que je ne voulais pas accepter.

    Une résolution

    Quand j’ai compris la situation, j’ai alors pris contact avec l’émotion de pauvreté que j’avais camouflée en moi, et surtout, avec la honte qu’elle avait éveillée. Aussitôt que l’émotion a été ressentie, en quelques instants, l’énergie s’est transformée. Je ressentais tout d’un coup un allègement, une forme de «fraicheur» qui circulait dans mes énergies, en lien avec une sensation d’abondance retrouvée. Quelque temps après, des solutions concrètes et réelles se sont présentées à moi et j’ai pu me libérer totalement de mes dettes.

    Aujourd’hui, ma relation avec le crédit est totalement transformée. Non seulement je n’ai plus aucune dette, mais je suis moi-même étonné de constater qu’aussitôt que j’utilise une carte de crédit pour effectuer un achat, mon réflexe premier est de payer la transaction en entier pour remettre la carte à zéro. Je ne suis plus l’ombre de ce que j’étais dans ma relation avec le crédit.

    Et ce changement concret, que je considère spectaculaire dans ma vie, est entièrement relié à l’acceptation d’une émotion de honte que j’avais si longtemps camouflée en moi. En apparence banale et anodine, cette émotion refoulée gérait toute ma relation avec l’abondance. Tant que celle-ci n’a pas été ressentie, mon Univers extérieur continuait de me présenter une abondance illusoire, un mirage, dont le prix à payer était toujours de plus en plus important.

    Vous seriez étonnés de constater à quel point des détails, certains insignifiants en apparence, ont un impact majeur sur notre vie. Ils affectent nos projections extérieures et limitent notre liberté de choisir. Les intentions que nous émettons traversent continuellement les filtres de nos émotions et de nos conditionnements. Elles sont ainsi reçues par l’Univers de façon déformée. Celui-ci aura alors pour rôle d’amplifier la distorsion reçue pour nous représenter extérieurement notre projection déformée.

    Si nous ne sommes pas attentifs à nos émanations, nous aurons soit l’impression d’être impuissants à créer notre vie comme nous le souhaitons, ou encore pire, d’être victimes des autres et de la vie en général.

    Une intuition concrète

    Je pratique régulièrement une activité sportive avec un groupe où nous devons parfois tirer «au hasard» des duos. Quand je suis au point zéro, je peux sentir le choix que je dois effectuer pour me retrouver avec tel ou tel partenaire. Mon intuition m’indique si je dois choisir pile ou face, selon ma préférence. Voilà l’un des bénéfices collatéraux que procure le cheminement spirituel, soit celui d’améliorer son intuition au quotidien et de façon pratique (à la limite de la manipulation, j’en conviens).

    Mais là où je veux en venir, c’est que dès que j’entre en résonnance avec une émotion, par exemple lorsque je considère que je ne devrais pas choisir le «meilleur» partenaire pour moi, puisque l’autre personne devra jouer avec le moins bon et que j’apprécie bien cette personne, mon intuition me dirige vers l’option la moins intéressante. C’est pourtant toujours mon intuition qui m’indique le choix à exprimer, mais la finalité est différente, alors que je me retrouve dans une situation moins intéressante.

    Quand ceci survenait, je me disais au début que j’avais probablement mal interprété mon intuition. Mais après certaines expérimentations, je me suis rendu compte que je recevais exactement ce que mon corps émotionnel ressentait. Si je ne me sentais pas légitime à obtenir quelque chose, mon intuition me guidait précisément vers l’expérimentation de cette illégitimité.

    J’ai compris que mon pouvoir était toujours présent, mais que mes filtres émotionnels venaient brouiller mes antennes et me faisaient voir la vie comme si je regardais à travers une vitre teintée. Et je ne pouvais blâmer qui que ce soit d’autre pour cette «erreur de réception», car c’était vraiment mon intuition qui guidait mes pas. Mais ce que je recevais était en alignement avec mon Âme pour venir amplifier mes émanations inconscientes afin que je voie, et non pour que je les contourne.

    Expérience initiatique

    Comme chacun d’entre vous, j’ai vécu une expérience initiatique majeure dans ma vie au niveau relationnel. J’ai reçu un jour l’intuition très forte de me diriger dans un lieu précis et j’y ai fait la rencontre d’une personne avec qui j’ai vécu une histoire karmique intense. J’aurais pu remettre en doute mon intuition de l’époque en me disant que j’avais certainement mal reçu, puisque j’avais beaucoup souffert dans cette relation. Mais avec le recul, je comprends aujourd’hui que c’était précisément là où je devais me diriger, même si l’expérience a été difficile à gérer par la suite. Cette relation m’a rendu plus solide et m’a rapproché un peu plus de la maîtrise.

    C’est notre propre pouvoir créateur qui est à l’origine de tout ce que nous expérimentons dans notre vie. Rien n’existe à l’extérieur de nous. Nous sommes les créateurs de toute notre vie et il n’existe aucune exception à ceci. Nous sommes au cœur de notre propre Univers. Et c’est la somme de tous les Univers personnels qui composent le Grand Univers, celui que certains nomment Dieu.

    Quel que soit le nom que nous lui associons, l’énergie unifiée de Tout-Ce-Qui-Est représente l’ultime destination de notre parcours dans l’incarnation. Revenir au Tout est le but du voyage de notre Âme. Qu’on le veuille ou non, notre destin est de «revenir à la maison». Peu importe quand, cela n’a aucune importance pour l’Univers. Quand nous en avons assez de souffrir de la séparation, nous choisissons de nous poser les vraies questions et alors, les vraies réponses peuvent se présenter à nous (sous plusieurs formes).

    S’il est vrai que certains filtres et voiles nous empêchent parfois de les recevoir, il n’en demeure pas moins que l’Univers collabore continuellement à nous rapprocher de la vérité de qui nous sommes en réalité. Pour contourner les filtres et les voiles, l’Univers utilise la vie pour nous refléter notre grandeur et la vérité sur notre pouvoir créateur, notre véritable nature.

    J’espère que cet éclairage éveillera de nouveaux questionnements intérieurs, qui permettront à leur tour d’apporter de nouvelles réponses. Dans l’Univers, il n’existe aucune question sans réponse. Aussitôt qu’une question est posée, la réponse se présente dans l’énergie. Tôt ou tard, elle sera disponible pour participer à notre évolution.

    Je suis heureux d’avoir pu partager avec vous ce nouvel éclairage.

    Salutations à tous

    Simon

    Simon Leclerc

    … au service de la Grande Fraternité Humaine et Universelle

    ————————————–

    Écrit le 1er décembre 2013, par Simon Leclerc (www.psychologiedelame.com)

    Vous pouvez partager librement ce message à la condition d’en conserver l’intégralité, sans rien modifier ni enlever, y compris sa provenance et ces quelques lignes. Merci

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  • Si tu veux changer le monde....aime une femme





    Si tu veux changer le monde… aime une femme… aime la vraiment. Trouve une femme qui parle à ton âme, pas à ta raison. Jette ta check-list, mets ton oreille sur son coeur et écoute. Entends ses noms, ses prières, les chansons de chaque être vivant – les ailés, ceux à fourrure et à écailles, les souterrains et les marins, les êtres verts et fleuris, tous ceux qui ne sont pas encore nés et ceux qui sont en train de mourir… Entends leur mélancolie louer Celle qui leur a donné la vie. Si tu n’as pas encore entendu ton propre nom, c’est que tu n’as pas écouté assez longtemps. Si tes yeux ne sont pas remplis de larmes, si tu ne t’inclines pas à ses pieds, c’est que tu n’as pas assez souffert à l’idée de l’avoir presque perdue.

    Si tu veux changer le monde… aime une femme… Une femme au-delà de toi-même, au-delà du désir et de la raison, au-delà de tes préférences d’homme pour la jeunesse, la beauté, la variété et de tous les concepts superficiels de liberté. Nous nous sommes donnés tellement de choix que nous avons oublié que la véritable libération est de se tenir au milieu du feu de l’âme et de brûler dans notre résistance à l’Amour. Il n’y a qu’une Déesse. Regarde-La dans les yeux, et vois, vois vraiment, si elle est celle qui va mettre la hache au -dessus de la tête. Si ce n’est pas le cas, passe ton chemin. Maintenant. Ne perds pas ton temps à “essayer”. Sache que ta décision n’a rien à voir avec elle, car au final, ce qui compte ce n’est pas avec qui, mais quand nous choisissons de nous rendre.

    Si tu veux changer le monde… aime une femme. Aime la pour sa vie au-delà de ta peur de la mort, au-delà de ta peur d’être manipulé par la Mère dans ta tête. Ne lui dis pas que tu es prêt à mourir pour elle. Dis lui que tu es prêt à VIVRE avec elle, à planter des arbres avec elle et à les regarder pousser. Sois son héros en lui disant à quel point elle est belle dans sa vulnérabilité majestueuse, en lui rappelant tous les jours, par ton adoration et ta dévotion, qu’elle EST une déesse.

    Si tu veux changer le monde… aime une femme dans tous ses aspects, à travers toutes ses saisons, et elle te guérira de ta schizophrénie, de ta duplicité et de ta tiédeur qui maintiennent ton Esprit et ton corps séparés, qui t’isolent et te font chercher hors de toi quelque chose qui donne du sens à ta vie. Il y aura toujours une autre femme. Bientôt cette nouvelle femme brillante deviendra terne, et tu te sentiras à nouveau agité, chassant les femmes comme des voitures, chassant la Déesse comme le nouvel objet de ton désir. L’homme n’a plus besoin de choisir. Ce dont l’homme a besoin c’est de la Femme, de l’Attitude Féminine, de la Patience et de la Compassion, ne cherchant rien, ne faisant rien, de respirer ici et de se laisser couler dans les racines entrelacées si solides qu’elles retiennent la Terre quand elle se débarrasse du ciment et du métal sur sa peau.

    Si tu veux changer le monde… aime une femme, une seule femme. Aime-la et protège-la comme si elle était le dernier vaisseau sacré. Aime-la à travers ses peurs d’abandon qu’elle retient pour toute l’humanité. Non, il ne tient pas qu’à elle de guérir les blessures. Non, ce n’est pas de la faiblesse d’être codépendante.

    Si tu veux changer le monde… aime une femme sans faillir jusqu’à ce qu’elle croie en toi, jusqu’à ce que ses instincts, ses visions, sa voix, son art, sa passion, sa sauvagerie lui soient revenus – jusqu’à ce qu’elle soit une force d’amour plus puissante que tous les démons des média politiques qui cherchent à la dévaloriser et à la détruire.

    Si tu veux changer le monde, abandonne tes causes, dépose les armes et tes panneaux de protestation. Oublie ta guerre intérieure, ta rage vertueuse et aime une femme… au-delà de tous tes efforts de grandeur, au-delà de ta quête tenace pour l’illumination. Le saint-graal se tient devant toi à peine la prends-tu dans tes bras et abandonnes tes recherches au profit de quelque chose allant au-delà de l’intimité.

    Et si la paix était un rêve que l’on peut réaliser seulement à travers le coeur d’une Femme? Et si l’amour d’un homme pour la Femme, l’attitude Féminine, était la clé pour ouvrir Son coeur?

    Si tu veux changer le monde… aime une femme depuis les profondeurs de ton ombre jusqu’au sommet de ton Etre, de retour dans le jardin où tu l’as rencontrée pour la première fois, à la porte des rayons de l’arc-en-ciel que vous avez traversée ensemble lumineux et unis, jusqu’au point de non-retour, aux confins de la nouvelle Terre…

    http://femmeswomen.wordpress.com/2013/11/12/si-tu-veux-changer-le-monde-if-you-want-to-change-the-world/

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  • Astro Maya - Lundi 2 Décembre 2013

    Vous

    Tendance du jour : changer de monde

    Il faut, dit-on, regarder la mort en face. En fait, il s’agit, pour une évolution sans heurt, de ne plus avoir peur d’elle et de comprendre que l’on quitte un état pour en trouver un autre. Que l’on change d’habit pour mieux se vêtir. L’on se dirige alors vers d’autres priorités, d’autres champs d’expériences. Les connaissances que vous aurez acquises tout au long de cette vie terrestre vous seront utiles pour continuer ailleurs votre évolution spirituelle. Il n’y a ni début, ni fin, mais une continuité pour accéder au but : le retour vers la Source.

    Vous et les autres

    Tendance du jour : l’union ou la destruction

    Etant tous solidaires, nous ne pouvons pas marcher les uns sans les autres. Dès qu’il y a désaccord, désunion entre les êtres, il y a le malheur et la peine. Travaillez sans relâche pour l’union entre tous. Pour commencer, faites la paix en famille, avec vos amis, au travail. Que chacune de vos relations soit basée sur l’entente et la compréhension mutuelle. Faites comprendre à vos enfants que le but de leur vie n’est pas de réussir matériellement mais fraternellement. C’est le plus bel amour que vous puissiez leur transmettre.

     

    gaia ciel

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  • Les activités de l’âme pendant le sommeil




    Comme la respiration et la nutrition, le sommeil est une fonction vitale ; privé de sommeil, l’homme meurt. Mais comme respirer et se nourrir, pour un spiritualiste dormir ne se limite pas à une activité physiologique destinée à réparer et rétablir le corps physique. « Que de temps perdu passé à dormir », se plaignent certaines personnes. Eh bien, il dépend d’elles que ce temps ne soit pas perdu.

    Pour celui qui s’endort avec la conviction qu’il peut étudier dans l’autre monde, le sommeil devient un acte sacré, et c’est même là qu’il reçoit la véritable Initiation. Il sait qu’il quitte son corps pour continuer à s’instruire auprès de son Maître ou des entités lumineuses du monde invisible. Quand il se réveille, le matin, il ne se souvient peut-être pas exactement de ce qu’il a ainsi vu et compris, mais il garde la sensation de quelque chose de beau, de lumineux, de profond, qui l’accompagne toute la journée. Et comme tout cela reste gravé en lui, un jour il est étonné de constater que beaucoup de choses sont en train de s’éclaircir.

    La vie mentale ne s’arrête pas lorsqu’on entre dans le sommeil. Et un Maître spirituel qui est conscient de son rôle et de ses responsabilités parle la nuit à ses disciples ; à travers le sommeil aussi il cherche à les atteindre. Et que leur dit-il, qu’il ne puisse leur révéler à l’état de veille ?… Beaucoup de choses qu’ils ne parviendraient pas encore à saisir avec leurs facultés conscientes et dont ils ne sauraient que faire. Ces vérités qu’il leur transmet par la pensée pendant le sommeil commencent à agir dans leur subconscient, et le jour où ils seront capables de les comprendre et de travailler avec elles, elles se révéleront clairement à leur conscience. Vous vous demandez : « Mais le Maître lui-même, à ce moment-là, est-il éveillé ou endormi ? » Il peut être éveillé, mais il peut être aussi endormi, car il a appris comment garder sa pensée active même pendant le sommeil.

    Ce qu’un Maître spirituel ne peut pas faire pendant le jour, il peut le faire pendant la nuit, car là il n’y a plus de limites. Pendant le jour il ne dispose que d’un petit nombre d’heures pour recevoir les personnes qui viennent lui demander de l’aide et des conseils. Toutes ces personnes accablées, tourmentées, il n’a pas tellement de temps à consacrer à chacune d’elles pour leur parler. Par contre, durant la nuit, il peut se projeter en plusieurs endroits à la fois pour venir en aide à ceux qui ont besoin de lui. Son corps physique est là, allongé, immobile, endormi, mais son esprit va partout pour soulager et éclairer les créatures. Son esprit ne dot pas, il reste actif.

    Et vous aussi, vous pouvez commencer à envisager ce travail. Pensez à toutes les créatures sur la terre qui sont malheureuses, qui souffrent, qui sont dans les ténèbres. Pendant la nuit, vous pouvez les aider, mais à condition d’apprendre à vous préparer au sommeil. Avant de vous endormir, dites-vous : « Voilà, je vais quitter mon corps cette nuit pour aller m’instruire dans le monde invisible et essayer d’aider ceux qui en ont besoin ». N’oubliez jamais de vous endormir avec cette pensée que vous pourrez aller faire un travail sur les âmes. Mais pour que ces conseils et ces méthodes soient efficaces, il faut évidemment que pendant la journée, déjà vous vous soyez efforcé de vivre raisonnablement, avec la conscience que non seulement vos actes, mais aussi vos pensées et vos sentiments ont des conséquences dans les plans subtils. Il ne suffit donc pas de balbutier quelques mots d’une prière avant de vous endormir ; si votre journée s’es passée dans l’agitation intérieure, les émotions, les ruminations contre les gens ou les choses, vous ne devez pas vous attendre à avoir une activité bénéfique pendant le sommeil.

    Et quand vous avez des problèmes, des questions qui vous préoccupent, vous pouvez aussi essayer de les résoudre pendant le sommeil, en les inscrivant même sur une feuille de papier que vous placerez sous votre oreiller. Bien sûr, un ange ne viendra pas pendant la nuit se présenter à vous pour vous donner des explications détaillées comme pourrait le faire un être humain, mais vous aurez certainement une réponse sous la forme d’une sensation, d’une pensée qui, au réveil ou pendant la journée, vous traversera l’esprit. Il faut comprendre que ces explications et ces exercices que je vous donne correspondent à une connaissance du psychisme humain et de son fonctionnement. Le fait de s’endormir avec une préoccupation bien précise déclenche dans le subconscient certains mécanismes psychiques.

    Beaucoup de chercheurs reconnaissent avoir trouvé pendant leur sommeil la solution de problèmes qui les préoccupaient car l’âme voyage, et à leur insu elle entre en contact avec d’autres mondes. Lorsqu’on entend parler des recherches des scientifiques on imagine seulement des gens, dans des laboratoires, occupés à manipuler des appareils et à couvrir des pages entières de calcul. C’est vrai qu’ils manipulent des appareils et font des calculs, mais si on étudiait bien leur cas, on apprendrait que souvent leur inconscient a une grande part dans leurs découvertes. La constance, l’intensité des efforts qu’ils font pour trouver, arrivent parfois à les mettre dans des états proches du dédoublement : ils sont projetés dans des régions inconnues qu’ils ne soupçonnaient même pas, c’est pourquoi au moment où ils s’y attendent le moins, comme un éclair la solution leur apparaît. Et cela peut se produire pendant le sommeil ; soudain ils se réveillent, notent rapidement quelque chose, puis se rendorment et c’est à peine qu’ils se souviennent le lendemain de ce qui leur est arrivé.

    Le travail subconscient qui se fait pendant le sommeil peut toujours être utilisé par chacun pour la réalisation de ses souhaits ou projets les meilleurs. Vous voulez vous corriger d’un défaut, acquérir une qualité ? Méditez longuement et puis endormez-vous en gardant présente cette pensée ; elle continuera à travailler pendant votre sommeil. Un autre exemple ; vous savez que quelqu’un ne vous aime pas et cherche à vous nuire. Il est peut-être difficile de le rencontrer pour vous expliquer de vive voix avec lui. Endormez-vous avec la pensée que vous irez le voir pendant la nuit pour lui dire : « Ecoute, mon vieux, même situ réussis à me faire du mal, qu’est-ce que tu y gagneras ? Tu te réjouiras un moment, moi je souffrirai un peu, mais cette souffrance me renforcera. Alors, c’est toi qui y perdras et en plus tu auras un karma à payer. Donc, arrête cette affaire, elle n’est pas avantageuse pour toi. » En agissant ainsi, vous exercez une influence sur son subconscient et il se peut qu’il change ; mais en admettant qu’il ne change pas, c’est au moins vous qui aurez appris à faire encore un travail par la pensée.

    Et il y a tellement d’autres circonstances où vous pouvez utiliser le sommeil pour faire un travail ! A partir de ce que je viens de vous expliquer, c’est à vous de les découvrir, à vous de trouver comment toutes ces heures que vous êtes obligé de passer à dormir peuvent ne pas être entièrement perdues, mais servir à des activités pour lesquelles vous n’avez pas le temps dans la journée. Oui, vous voyez, le champ des activités spirituelles est immense, il va jusqu’à l’infini.

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  • Acceptez toutes choses comme elles sont




    Par Yosuel……………..

    Il y a une chose que Vous devez comprendre, c’est que Vous êtes dans une période où Vous pouvez enfin Vous re-trouver, Vous pouvez enfin Vous libérer de tout ce que Vous avez vécu depuis de très nombreuses vies, et surtout Vous êtes venus dans cette vie pour pouvoir Vous réaliser et ne plus subir ce monde tel qu’il est.

    Vous êtes venus pour comprendre tout ce que Vous avez vécu et reprendre le chemin de votre Cœur pour enfin Vous permettre d’être Vous et d’élever votre conscience au-delà de cette 3ème dimension que Vous avez expérimentée depuis des éons déjà.

    Il Vous faut accepter que Vous devez en passer par ne plus jouer aucun jeux qui ne Vous permettent pas d’être pleinement Vous, en phase avec votre Conscience, en phase avec ce que maintenant Vous voulez vivre et Vous réaliser, parce que Vous avez à accepter que tout est dans l’ordre Divin, que tout a sa raison d’être, mais surtout que tout a une correspondance dans tout ce que Vous avez créé, dans tout ce que Vous avez vécu, et que cette correspondance est la relation entre ce qui peut se créer et ce qui peut être transmuté, si Vous-mêmes comprenez que Vous pouvez Vous mouvoir au travers de tout ce qui se joue, sans ne plus Vous y impliquer, mais surtout sans ne plus rentrer dans ce qui ne Vous correspond pas. Et c’est en cela que Vous avez à accepter toutes choses comme elles sont, en sachant que tout doit trouver sa résolution dans le simple fait que tout correspond à ce qui est émis, aussi bien dans un sens que dans un autre. A la différence que tout doit être transmuté dans le ressenti de ce que cela signifie sans rien n’émettre d’autre que cette compréhension, et surtout l’émettre au niveau du Cœur dans la sincérité de l’Amour que Vous Êtes, sans en remettre la cause sur Autrui. Et c’est ainsi.

    Cela va Vous demander de ne plus Vous référer à ce que Vous avez vécu, mais de croire en Vous et en ce que Vous Êtes vraiment, parce que Vous avez à libérer tout ce qui ne va pas en Vous et à en comprendre les subtilités, parce que ces subtilités Vous permettent d’élargir le champ de vision de tout ce qui est relié à cette compréhension.

    Et c’est en cela que Nous Vous disons : lâchez en totalité cette peur de ne plus pouvoir Vous identifier à l’Humain qui avait ses repères auprès des Autres, pour enfin Vous libérer de tout attachement et de tout devoir aux Autres, parce que c’est en cela que Vous pourrez comprendre combien Vous n’étiez pas Vous-mêmes, et combien Vous étiez limités dans votre façon d’être, et combien Vous ne pouviez pas vivre pleinement ce que Vous aviez envie de vivre dans la Joie d’être.

    Et c’est là qu’il Vous faut avoir le courage de lâcher en totalité votre mental et votre personnalité humaine pour aller au-delà de ce que Vous ne voulez pas admettre, afin que Nous puissions Vous faire ressentir la subtilité de ce que Vous vivez et qui ne Vous correspond plus, et surtout qui Vous empêche d’aller au-delà d’une conscience plus élevée qui Vous amènera dans le ressenti de l’Amour qui se reflète derrière toute expérience, et surtout derrière toutes incompréhensions quelles qu’elles soient.

    Cela demande beaucoup de courage et de volonté pour dépasser ce que Vous avez toujours voulu Vous protéger contre votre propre vérité, et surtout contre votre propre jugement, car contrairement à ce qui a été dit, il n’existe aucun jugement dernier, mais votre jugement à ne pas vouloir admettre que tout a sa raison d’être, et que tout est dans l’ordre Divin, quoi que Vous viviez, et quoi que Vous avez subit dans l’expérience humaine. Et cela va Vous demander une remise en question de tout ce que Vous avez été et cru être, à la différence qu’il Vous faut maintenant accéder à un autre niveau où Vous serez à même d’accepter toutes vos expériences sans chercher à Vous justifier, sans chercher à remettre sur l’Autre vos propres difficultés à être Vous, à Vous aimer, et surtout à ne plus chercher en l’Autre ce que Vous Êtes et ce que Vous êtes à même de ressentir de ce qu’il se passe en Vous.

    Lorsque Vous n’êtes plus Vous-mêmes et que Vous cherchez une raison à votre existence, Vous Vous fourvoyez dans ce que votre personnalité humaine essaie de Vous dire, ce qui Vous entraîne à des échafaudages qui ne sont en rien votre réalité, mais que Vous élaborez par des pensées Vous entraînant sans cesse dans un tourbillon dans lequel Vous Vous identifiez à vos propres pensées et qui ne Vous mènent qu’à une instabilité ne Vous amenant pas au ressenti de ce que Vous Êtes en réalité, et surtout ne Vous amenant pas à entrevoir une possibilité grandiose de ce que Vous pourriez vivre en simplement Vous accordant de lâcher en totalité toutes pensées qui ne soient pas ce que Vous Êtes, et surtout qui ne soient pas dans l’Amour.

    Et il est bon maintenant de revoir en totalité votre façon d’être, de penser, d’agir et d’exprimer ce que Vous pensez de Vous, de la vie, des Autres et tout ce qui fait votre monde.

    Le fait d’être Vous, de ne plus jouer aucun jeux ne Vous permettant pas d’être Vous-mêmes, va Vous amener à ressentir qu’en réalité tout peut être vécu d’une autre façon, mais surtout tout peut être compris et ressenti à bien des niveaux que Vous seuls êtes à même de ressentir sans ne plus Vous chercher dans quoi que ce soit, sans ne plus Vous chercher dans ce que sont les Autres, et surtout sans ne plus Vous croire dans l’obligation d’être ce que Nous voulons que Vous soyez.

    Maintenant, Vous aurez aussi à en passer par ne plus Vous confondre en Qui que ce soit, mais de prendre vos responsabilités quant à ce que Vous voulez être et vivre pour que Vous soyez Vous-mêmes en phase avec cette réalité, mais sans ne plus la subir, et surtout sans ne plus être pris à partie par tout ce qui se joue.

    Vous aurez aussi à accepter que tout être à besoin Lui aussi de comprendre ce qu’Il vit, ce qu’Il ne veut pas admettre, ce qu’Il ne veut pas dépasser sans Vous sentir dans l’obligation de vouloir le changer et Lui montrer coûte que coûte ce qu’Il n’aspire pas encore à dépasser, parce qu’alors Vous ne Lui permettriez pas de se voir dans ce qu’Il expérimente et dans ce qu’Il joue encore d’une certaine façon.

    Maintenant, Vous aurez aussi besoin d’aller au-delà de tout ce que Vous avez expérimenté sans ne plus Vous croire dans l’obligation de toujours chercher une cause à tout ce que Vous avez vécu, mais d’être simplement Vous, d’être en conscience de ce que Vous Êtes, mais surtout d’être pleinement en phase avec cette vie, avec cette incarnation, tout en sachant que Vous aurez toujours besoin d’aller au-delà de tout ce qui se présente à Vous sans ne plus Vous y attarder, sans ne plus chercher à comprendre les choses au-delà de ce que Vous avez été amenés à comprendre, parce qu’alors Vous rentreriez dans d’autres jeux qu’il Vous faudrait comprendre, alors que Vous pouvez simplement être Vous et accepter toutes choses comme elles sont.

    Soyez Vous, soyez ce que Vous Êtes, et sachez que Vous n’êtes jamais seuls…

    Et il en est ainsi !

    Yosuel

    Source : Medidetente – Etre soi meme

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