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  • La guérison de l’enfant intérieur (méditation guidée)




    La guérison de notre enfant intérieur est primordiale pour notre évolution personnelle et spirituelle. Il est important de savoir que tout s’imprime dans la conscience. Après, c’est une question de mémoire. Nous sommes des consciences, et nous voyageons, à travers l’espace et le temps, dans des mondes en évolution. Notre conscience Divine, avec le support de notre âme, choisit des incarnations afin d’apprendre, d’évoluer et d’enrichir de ces expériences la Création entière.

    Même si nous avons oublié ces différentes imprégnations, il est possible, en méditation, en nous reliant à notre Présence Sacrée, ou avec un accompagnant, en état modifié de conscience, de retrouver ces mémoires, afin de soigner les chocs émotionnels accumulés lors du parcours de notre âme. La première impression marquante, au début de l’incarnation, s’implante au moment de la conception, c’est à cet instant que l’âme rencontre la matière. Or, comme l’âme avait commencé à oublier ses origines de lumière en s’approchant de la densité physique, elle a été influencé par les sensations venues de l’extérieur, émises par les vibrations de ses parents humains. Souvent, l’âme, lors de la conception, confond la matière avec les émotions et le monde intérieur des parents, d’où les différentes difficultés à s’incarner, si la conception n’est pas faite en conscience et dans l’amour. A différents degrés, cela concerne tout le monde, car nous vivons dans un monde imparfait, où chacun a des limites (l’expression de l’amour conditionnel).

    L’imprégnation aux émotions extérieures continue au cours de la vie fœtale, où l’âme poursuit son identification à la vibration parentale, et commence ainsi à définir ses propres perceptions du monde. La Vie n’a que le sens qu’on lui donne, et celui-ci subit les influences extérieures. La difficulté vient du fait que l’âme ne différencie pas l’extérieur de ce qui lui appartient en propre, car elle est dans un processus de fusion. L’expérience consiste justement à défusionner avec le monde des autres, pour revenir à sa propre conscience. Cet apprentissage de l’autonomie est plus ou moins difficile suivant l’histoire familiale et les croyances personnelle de l’âme, issues des vies antérieures. Il est juste effectivement de soigner tout cela, mais cela peut se faire dans le présent, dans le travail en conscience, car nous ne sommes que la résultante de nos expériences passées.

    La croyance précède toujours l’expérience, donc nous avons choisi nos parents en fonction des conclusions de nos vies passées. Même sans leur souvenir nous pouvons donc guérir, car le présent est la conséquence du passé. En soignant ces mémoires, en recontactant notre enfant intérieur, nous pouvons nous libérer de ces influences et nous connecter de façon plus profonde à notre structure multidimensionnelle. Ainsi, le présent n’est plus le résultat du passé, mais un acte de création consciente issu de notre identification à notre Présence Eternelle. Il n’y a pas de miracle, c’est un travail intérieur puissant, dans le temps. Il demande patience et persévérance. En effet, notre expérience enfantine s’écoule sur plusieurs années, l’imprégnation est donc forte, et c’est par la constance, par une reliance forte à notre enfant intérieur que nous nous en dégageons.

    Lorsque, dans notre présent, nous sommes parfois étonnés de réactions émotionnelles excessives, sans rapport avec la situation vécue, c’est que nous sommes dans l’activation d’une mémoire. Notre corps se souvient de situations similaires souffrantes, et s’identifie à ce passé. Ainsi, par exemple, lors d’un conflit relationnel, en fait, notre inconscient se trouve devant papa ou maman, et rejoue l’impression d’impuissance de l’enfant. C’est l’enfant en nous qui n’a pas de solution, qui vit cette impuissance, qui subit. Le savoir, retrouver le souvenir en adéquation avec la situation permet la libération de la mémoire et de sortir de la réactivité.

    Le fait de devenir, par nous-mêmes, un parent bienveillant pour notre enfant intérieur est très bénéfique, à la fois pour l’adulte et pour l’enfant en nous. En effet, sentir qu’on a ce pouvoir d’entrer vibratoirement en relation avec l’enfant permet à l’adulte de s’affirmer, de croire en lui, et cela aide l’enfant à grandir, à venir s’unir à l’adulte. C’est une réconciliation profonde en Soi, un retour vers l’Unité de l’Être. Cela peut commencer de façon très simple, par une intériorisation. Tournez votre attention en vous, dans votre cœur, et allez y chercher la présence de votre enfant. Le plus important ce n’est pas de le voir, c’est de le sentir. Puis approchez-vous doucement de lui, en tant qu’adulte, et parlez-lui. Dites-lui que vous êtes là pour lui, que vous le comprenez, que vous l’aimez, et que vous allez l’aider. Vous êtes venu le soutenir, devenir un bon compagnon pour lui. Ecoutez ses doléances, ses interrogations, enseignez-lui la sagesse et la compréhension de l’adulte, afin de créer cette réconciliation profonde avec la vie et le détachement des identifications extérieures.

    Je vous propose une méditation audio pour vous aider à recontacter ou approfondir ce travail de reconnexion à votre enfant intérieur. Bonne écoute !

    http://youtu.be/QfJp_wYu3SM

     
     


    Rédigé par : Sophie Riehl

    http://www.natureetharmonie.net/

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  • Le plus grand des amours



    Le plus grand des amours qui puisse exister est celui qui se trouve sur le plan de l'âme. Lorsque nous bâtissons une relation avec la pleine conscience de nos âmes, le lien que nous ressentons est de nature profonde. Il transcende les limites inhérentes à nos relations humaines et romantiques, et nous donne un aperçu de notre véritable magnificence spirituelle. Au niveau de l'âme, nous nous reconnaissons les uns les autres et nous savons que chaque relation, modeste ou exceptionnelle, n'est qu'un minuscule flocon de neige faisant partie de l'immense avalanche de lumière blanche et exubérante qui constitue l'amour du monde.

    Pendant que nos relations changent et que nous-mêmes changeons au fil des jours, nous apportons la preuve qu'il est possible d'aimer consciemment, peu importe la forme que cet amour peut prendre, peu importe ce qu'il peut contenir de surprenant et de bizarre. Nous découvrons que le rapprochement de deux personnes s'effectue à un moment particulier et qu'il a un caractère merveilleusement unique, que la fin d'une relation peut aussi être un début, que chaque fois qu'il y a une transformation énergétique et qu'une nouvelle relation naît, nous abordons une autre vie et nous nous préparons à de nouvelles possibilités. Il est fort probable que le processus soit un vrai supplice, mais même ce supplice peut s'avérer une gratification, car il nous ramène à la profondeur de nos émotions. Il nous ramène à notre propension à la passion, au pardon, à la générosité et à l'expansivité, ainsi qu'à notre besoin d'aimer et d'être aimé.

    Bien que nous ne puissions pas encore nous voir dans notre intégralité ni comprendre la direction de notre route, nous faisons tous partie de l'histoire humaine en devenir. Nous avons été appelés à faire œuvre de pionnier dans cette phase de l'expérience humaine, une phase au cours de laquelle les formes se désagrègent pour permettre à nos âmes d'atteindre le plan suivant. Dans ce processus, les vieilles formes usées de relation sont transformées et éliminées, nous versons d'abord des larmes parce que nous avons perdu quelque chose et nous saisissons ensuite la queue d'un cerf-volant qui nous élève toujours plus haut dans les sphères de la conscience. Privilégiés d'avoir été engagés dans ce processus, nous avons la possibilité de connaître le véritable amour dans notre vie.

    L'amour qui nous réunit, peu importe de quoi il a l'air, n'est rien d'autre que l'énergie de l'âme. Cette énergie a voyagé pendant des vies afin de trouver son expression dans ce moment précis, dans cette relation-là. Noble et généreuse, elle coule à flots sur chaque difficulté et défi que nous rencontrons, dissolvant ainsi la souffrance, manifestant de la beauté et transformant tout ce qu'elle touche sur son passage. Aucun défi n'est trop imposant pour le véritable amour, aucune distance n'est trop grande à parcourir.

    En tant qu'âmes, nous connaissons un secret : l'expérience humaine que nous vivons est un enseignement par lequel nous nous rappelons ou découvrons que nous sommes des êtres spirituels. Ceci étant une vérité et bien entendu, la seule vérité qui englobe toutes les autres , nous pouvons cesser de nous torturer alors que nous vivons ces nouvelles et extraordinaires formes de relation parce que nous savons que nos âmes les ont désirées. La moindre d'entre elles est mise en œuvre par notre âme pour nous faire connaître nos profondeurs et nous amener à nous incliner devant le fait que nous sommes des êtres spirituels qui vivons des vies humaines.

    extrait du livre : le futur de l'amour , édition ARIANE

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  • Astro Maya - Mercredi 11 Décembre 2013

    Vous

    Tendance du jour : la voie unique


    Si vous devez ne retenir que deux principes fondamentaux, sachez que ce qui doit compter le plus pour vous c’est l’amour, qu’il s’agisse des autres ou de vous-même et le respect de toute vie. Faites-en votre priorité à chaque instant et comprenez que le reste n’est pas essentiel.

    Vous et les autres

    Tendance du jour : le sens de la vie

    Si vous devez ne retenir que deux principes fondamentaux concernant la façon d’éduquer un enfant, sachez que ce qui doit compter le plus pour lui c’est d’abord de lui apprendre le sens des deux principes nommés ci-dessus et ensuite de faire en sorte de lui donner toujours confiance en lui, en ses qualités, en ses capacités. Ne jamais employer d’expression négative à son égard du genre : tu n’y arriveras pas, tu n’es bon à rien, pour ne pas risquer de le conditionner dans ce sens. Ne vous attachez à rien d’autre.

     

    enfant gaia

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  • Notre bilan de vie, en 20 questions



    avant de foncer tête première dans la nouvelle année,
    on fait le point pour mieux voir où on en est et où on s’en va.


    Le bilan de vie, c’est un outil pour cibler les désirs qu’on voudrait combler, pour mettre le doigt sur nos bobos et pour déterminer nos objectifs pour l’année qui commence. C’est aussi l’occasion idéale de dépoussiérer nos rêves, de stimuler notre imaginaire et d’élargir nos horizons.
    Petite mise en garde: avec ce type d’exercice, il est facile d’être trop dure avec soi-même. Alors, attention: le but n’est pas de se taper sur la tête ni de faire un examen de conscience sévère. Il s’agit plutôt d’un exercice pour faire le point et réfléchir, mais aussi pour se faire plaisir sans se juger. Deux conseils pour partir du bon pied:

    On ne fait pas le tour de sa vie sur le coin d’une table comme on rédige une liste d’épicerie. Pour que l’exercice soit efficace, on bloque du temps de qualité à l’agenda. Que ce soit une journée de congé ou un week-end entier, on choisit un moment où on ne risque pas d’être dérangée. On peut choisir de faire notre bilan d’une traite ou par petits bouts; on s’assure toutefois, dans ce cas, de se donner une date limite pour boucler le tout.

    Pour rendre l’exercice ludique, on se choisit un joli papier et des crayons colorés. On peut même garder tout près une pile de vieux magazines qu’on pourra découper pour «illustrer» nos idées et propos. Prête ? On y va !

    1. Quelles sont les trois qualités qui me définissent ?

    Sens de l’humour, débrouillardise, générosité, franchise, sens de l’écoute… on possède toutes des qualités qui nous rendent uniques aux yeux des autres. Affirmer ces qualités servira de levier pour débuter notre introspection sur une note positive.

    2. Si je devais nommer 10 choses pour lesquelles je suis reconnaissante, quelles seraient-elles ?

    Rien de tel que la gratitude pour nous faire voir les choses autrement. On a parfois tendance à voir le mauvais côté des choses, mais, en y regardant de plus près, on verra que l’année a été parsemée d’une foule de petits moments positifs, d’événements heureux et de joies inattendues. Et justement, un bilan, c’est aussi pour ça: célébrer les joies et les bonheurs de l’année qui vient de se terminer.

    3. Dans la dernière année, quelle a été ma plus grosse erreur? Quelle leçon en ai-je tirée ?

    Une erreur n’est jamais une erreur lorsqu’on en tire une leçon. Qu’a-t-on appris sur soi dans la dernière année, et comment peut-on se servir de cette épreuve pour réaliser notre plein potentiel et vivre une vie qui nous ressemble davantage?

    4. Mon rythme de vie: trop rapide ou pas assez ?

    On commence par dresser la liste des différentes activités de notre quotidien: boulot, tâches domestiques, courses, préparation des repas, transport, activités sportives, devoirs des enfants, etc. Est-ce que ça déborde? Ou, au contraire, devrait-on se trouver de nouveaux défis, de nouvelles activités?

    5. Au quotidien, qu’est-ce qui m’énergise ?

    Quels sont les gestes, les rituels, les activités qui nous donnent envie de nous lever le matin? Qu’est-ce qui met de l’essence dans notre moteur? On en profite pour cibler aussi ce qui nous ralentit ou draine notre énergie.

    6. Quelle est ma plus grande source de stress ?

    Comment réagit-on lorsque le stress se présente dans notre vie? On a souvent tendance à penser que le stress dépend d’une situation extérieure, mais notre réponse ou notre attitude face à cette situation y est aussi pour quelque chose. Une fois la source de stress identifiée, on se demande comment on pourrait la tourner de façon positive. Par exemple, si la source de notre stress est le temps qu’on perd dans la circulation, on pourrait décider de se servir de ce moment pour écouter de la musique relaxante, chanter, respirer, etc.

    7. Mon chez-moi est-il en harmonie avec la personne que je suis ?

    Sans forcément déménager, il est bon de voir si le lieu qu’on habite et les choses qui nous entourent nous conviennent toujours. Quelle est l’ambiance qui se dégage de notre demeure? Est-on satisfaite de son accessibilité, du confort qu’elle nous procure? Le décor de la maison ou le style de l’appartement nous plaît-il toujours? Est-ce un endroit où on aime passer du temps, où on se sent heureuse?

    8. Qu’est-ce que j’aimerais faire avec mon argent ?

    L’utilise-t-on aux endroits qui comptent pour nous? Accumule-t-on des économies sans jamais se faire plaisir? A-t-on des dettes qu’on traîne depuis trop longtemps?

    9. Mon travail me plaît-il toujours ?

    Est-on bien dans notre environnement de travail? Qu’en est-il de nos horaires? du transport? de nos relations au travail? A-t-on toujours envie d’y relever des défis? Arrive-t-on au bureau la plupart du temps heureuse et positive ou, au contraire, y va-t-on à reculons, démotivée par une tâche qu’on trouve ennuyante ou difficile? Quels aspects de notre travail apprécie-t-on? Et lesquels nous déplaisent?

    10. Sexuellement, est-ce que je me sens épanouie ?

    Notre sexualité nous rend-elle heureuse ou, au contraire, triste ou angoissée? A-t-on envie d’essayer de nouvelles choses, de découvrir des façons différentes d’éprouver du plaisir? Peut-on en parler ouvertement avec la personne qu’on aime ou a-t-on peur d’être jugée ou même ridiculisée?

    11. Dans ma vie, de quoi suis-je le plus fière ?

    L’idée du bilan, c’est aussi de faire la liste de nos bons coups. Pour se motiver à aller plus loin, on note nos réalisations et nos succès. A-t-on cessé de fumer? payé nos dettes? enrichi notre relation avec nos enfants? Ici, l’exercice doit nous apporter un réel sentiment de fierté. Une petite tape dans le dos, de temps en temps, ça ne fait pas de mal!

    12. Quelle est ma plus grande peur ?

    Est-ce la peur de l’amour, peur du succès, peur de l’échec, peur de perdre le contrôle, peur du changement? Dans le contexte du bilan, on pourrait en choisir une seule et voir, concrètement, comment on pourrait transformer cette peur en un succès. En nommant une action concrète pour transcender nos peurs, on amorce un processus pour s’en libérer.

    13. Qu’est-ce que j’ai à pardonner ou à me faire pardonner ?

    Le ressentiment et la rancune nous gardent attachée au passé et nous empêchent d’avancer. Pardonner permet de passer à autre chose et de faire en sorte que notre vie ne soit plus limitée par un événement négatif. Parfois aussi, c’est à nous de demander pardon à quelqu’un afin de ne plus vivre avec le poids de la culpabilité.

    14. À qui ai-je envie de dire merci, aujourd’hui ?

    Avec un peu de recul, on réalise que, dans la dernière année, des gens nous ont aidée, supportée, écoutée, encouragée… C’est le moment de leur dire un sincère merci. Qu’il s’agisse d’une voisine, d’une amie, d’une collègue ou d’un proche, on trouve une façon sincère et originale de lui témoigner notre reconnaissance.

    15. En couple ou célibataire: dans les deux cas, suis-je heureuse ?

    Source de grandes joies, la vie à deux peut devenir néfaste quand on est malheureuse ou qu’on a tout essayé, sans succès, pour requinquer notre union. Notre couple est-il en santé ou, au contraire, draine-t-il notre santé? Qu’est-ce qui nous plaît ou nous déplaît dans notre vie amoureuse? On est célibataire? Est-ce que le célibat – imposé ou volontaire – nous comble? Est-on heureuse seule? Sinon, que pourrait-on faire pour retrouver une relation qui nous comblera?

    16. Qui compte pour moi ?

    On a toutes des relations importantes qui marquent nos vies, que ce soit avec nos parents, nos conjoints, nos enfants, notre belle-famille, les enfants de notre conjoint, etc. Le bilan nous donne l’occasion d’examiner ces relations, mais aussi d’apprécier ceux et celles qui font partie de notre vie.

    17. Ai-je la vie familiale dont j’ai rêvé ?

    Les besoins de chacun sont-ils comblés? Notre environnement familial est-il harmonieux? La répartition des tâches est-elle équitable? Bref, qu’est-ce qui va bien et qu’est-ce qui a besoin d’être corrigé?

    18. Quelles sont les amitiés les plus importantes pour moi ?

    Une véritable amitié est une relation qui nous aide à grandir et nous encourage à être une meilleure personne. C’est le moment de passer en revue nos amitiés, les vieilles comme les nouvelles. Certaines d’entre elles sont-elles toxiques ou, du moins, très accaparantes? Prend-on assez soin de nos amies et ces dernières sont-elles là pour nous quand on a besoin d’elles? Est-ce qu’on traîne de vieilles amitiés qui ne sont plus agréables? Y a-t-il de nouvelles amies à qui on aimerait faire plus de place dans notre vie?

    19. Pour être plus libre, qu’est-ce que je devrais laisser aller ?

    Un secret de famille, de vieux regrets, un tabou qui nous a miné l’existence, voilà des chaînes qui nous gardent prisonnière du passé. Que ce soit en parlant ouvertement de ce qui nous a blessée ou en faisant une trêve dans un conflit qui n’existe même plus, le temps est venu de nous libérer de nos vieux bagages pour voyager plus léger.

    20. Si j’avais un mot à choisir pour guider mes actions dans la prochaine année, quel serait-il ?

    Que ce soit confiance, force, créativité ou gratitude, on profite de cet exercice pour se donner en cadeau un mantra qui guidera nos pensées, nos paroles et nos actions en 2012. On l’écrit sur une feuille et on le met à notre vue pour toute l’année, histoire de ne pas l’oublier.

    Prochaine étape : on passe aux actes

    Une fois l’exercice terminé, on prend un peu de recul afin d’examiner notre parcours, les erreurs commises, les leçons apprises, les insatisfactions à régler, les désirs à combler, les projets à réaliser. Faire le bilan de sa vie demande un peu d’humilité, pas mal d’introspection et une bonne dose de courage.

    Si nos réponses aux questions révèlent une insatisfaction, un doute, un mécontentement, on devra peut-être réfléchir encore un peu pour nommer ce qui nous dérange et comment y remédier. C’est aussi le bon moment pour voir ce qui pourrait être délégué ou éliminé pour faire un peu plus de place à ce qui compte pour nous, à ce qui nous ressemble. À partir de là, on choisit quatre ou cinq actions qu’on aimerait réaliser prochainement.

    Si on en a envie, on peut utiliser nos réponses pour créer un rappel visuel des choses qu’on veut changer, améliorer ou instaurer. On utilise nos couleurs préférées et on souligne les mots-clés qui nous parlent le plus, on y ajoute des images qui correspondent à ce qu’on est et à ce qu’on désire. On peut même y mettre quelques phrases inspirantes pour s’encourager.

    Pour éviter de faire des changements radicaux sur un coup de tête, on se fixe un échéancier pour amorcer ces changements en tenant compte des circonstances de notre vie et de notre rythme personnel. On peut maintenant amorcer la prochaine année avec confiance et sérénité!

    Pour faire le point, et aller plus loin

    L’auteure de cet article, Nicole Bordeleau, est aussi derrière ce coffret audio qui regroupe 12 conférences où elle aborde des thèmes semblables à ceux de cet article: le pardon, la gratitude, le stress, etc. Un beau cadeau à se faire pour commencer l’année!
    Une année pour mieux vivre, 39,99$ ou 29,99$ en téléchargement sur yogamonde.com (on peut aussi possible télécharger les conférences à la pièce, pour 6,99$ chacune).

    Si on aime les tests, ce petit bouquin regroupe 30 tests publiés par le magazine français réputé Psychologies. Pratique… et ludique! Qui êtes-vous vraiment? Présenté par Pascale Senk, L’Express, 2011, 22,95$.



    http://www.coupdepouce.com/bien-dans-ma-tete/psychologie/notre-bilan-de-vie-en-20-questions/a/38041/5

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  • La conscience de la Terre




    « En ce moment, il y a beaucoup de disparitions d’êtres sur ce monde. Certaines personnes disparaissent et ne sont pas retrouvées. Souvent, l’âme de ces personnes a fait le choix de nous rejoindre.

    Nous prenons contact avec ces êtres humains mais nous ne les obligeons pas. Nous leur disons cependant ceci : « fais ton choix ! Soit tu restes sur ce monde qui se meurt, soit tu viens avec nous dans nos vaisseaux pour accueillir tes frères lorsque le moment sera venu ».

    Nous pouvons vous dire que quatre vingt dix pour cent des personnes que nous contactons de cette manière sont totalement dans l’acceptation parce que leur âme sait, parce qu’elles comprennent au-delà de l’humain, parce qu’elles ressentent notre fréquence vibratoire et qu’il y a un accord entre notre fréquence vibratoire et la leur que nous faisons s’élever.

    Beaucoup de questions viendront à votre conscience par rapport à certaines choses qui se passeront sur ce monde et en vous. Sachez que plus vous évoluerez, plus les réponses vous seront données ; vous ne douterez pas des réponses que vous recevrez de vous-mêmes ou de nous, vos frères de Lumière, vos frères galactiques.

    Dans un futur très proche, beaucoup de choses changeront dans le cœur des hommes, beaucoup de choses changeront au niveau de votre Mère la Terre. Elle a réellement commencé son ascension ! »

    Ils me disent :

    « D’une certaine manière, nous allons te montrer cette merveilleuse conscience. »

    Je vois maintenant les grandes profondeurs de la Terre et également l’extérieur de la Terre. Au plus profond de la Terre, je vois des quartzs magnifiques qui rayonnent des lumières que je ne peux même pas décrire.

    « La conscience de la Terre prend son énergie d’ascension dans ces quartz.

    D’une certaine façon, vous êtes liés à la conscience de la Terre. A partir du moment où vous êtes sur ce monde, il y a une relation profonde dans l’énergie, mais également dans la réalité de ce que vous êtes en tant qu’Etres de Lumière avec la réalité de ce qu’est la Terre elle aussi en tant qu’entité de Lumière.

    Nous ne pouvons pas dire que la Terre est un Etre de Lumière car elle est bien au-delà d’un Etre de Lumière. C’est une immense force de vie et d’Amour. C’est ainsi qu’il faudrait que vous la conceviez.

    Cette immense conscience délègue une petite partie d’elle-même pour aller aider tous les êtres humains et toute vie, pour aider toute la vie qui est sur elle à la suivre totalement dans sa magnifique ascension ».

    Je vois toujours cette couleur rosée. Pouvez-vous imaginer ce que peut représenter la conscience de la Terre ? Même moi j’ai du mal à la décrire, car pour moi cela n’a pas de réalité physique.

    Je vois cette énergie très importante auprès de ces cristaux qui rayonnent une multitude de lumières de couleur. Je vois un immense cordon d’énergie qui relie la partie qui est à l’intérieur de la Terre à la partie extérieure. Je vois aussi cette énergie qui retombe sur toute vie de ce monde.

    Comment décrire une énergie de vie ? Elle n’a pas de forme car elle peut prendre toutes les formes. Elle n’a pas de couleur parce qu’elle peut prendre toutes les couleurs. La seule chose que nous pouvons ressentir est l’Amour immense qui en émane, car cela se passe entre le cœur de la merveilleuse conscience de notre Mère Terre et notre cœur.

    C’est l’Amour qui peut vous faire prendre conscience de ce que peut représenter la conscience de votre Mère la Terre. Rien ne peut le si ce n’est l’Amour, l’Amour qui relie toute vie sur elle et qui relie ce qu’elle est à ce que vous êtes ».

    Ils me disent encore :

    « Nul être humain ne sera abandonné ! Il sera donné à chacun la même quantité d’Amour, la même Lumière. La différence est que certains êtres pourront en prendre conscience et les intégrer et que d’autres ne seront pas encore suffisamment éveillés pour en prendre réellement conscience et pouvoir les intégrer totalement.

    L’univers est patient ! La conscience de la Terre est également patiente ! Même s’il reste encore un délai pour le grand éveil, tout se fera en son temps ».

    Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :

    qu’il ne soit pas coupé
    qu’il n’y ait aucune modification de contenu
    que vous fassiez référence à notre site http://ducielalaterre.org
    que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu

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  • Différences notables entre la troisième et la cinquième dimension



    Cela est éminemment complexe. Nous allons simplement prendre deux exemples si vous le voulez bien. Je disais que dans les modes de vie qui ont accès à la cinquième dimension, contrairement à ceux qui n’y ont pas accès, les notions de séparation n’existent absolument pas. Les types de communication sont de type non verbal mais télépathique direct. Le langage, au sens où vous l’avez bâti, est une configuration spéciale liée à votre fonctionnement dissocié et séparé. Donc nous n’avons pas de langage. L’attachement, au sens où vous l’avez bâti à travers des peurs inhérentes à votre déroulement de vie, n’existe absolument pas dans la cinquième dimension même quand il existe un corps de troisième dimension. Les différences sont essentielles aussi, je l’ai dit, au niveau des modes de propagation aussi bien de la pensée que de la Lumière mais aussi au niveau des modes de vie car nous vivons, soyez en sûrs. Ce que nous voyons n’est pas le Soleil extérieur que vous voyez, mais notre plafond est gouverné par une Lumière permanente qui est la Lumière de la Source Soleil.

    Vous, vous voyez le Soleil comme une entité séparée de vous par une distance extrêmement importante, comme un astre qui chauffe et qui permet la vie. Nous, nous pouvons dire que nous sommes en contact avec les forces les plus pures du Soleil qui sont directement au-dessus de nous. La seule analogie que nous retrouvons c’est la connexion à la Source qui est exactement la même : la Source Mère qui est la vôtre et la nôtre. Nous marchons dessus, de même que vous marchez sur votre Soleil. Il est extrêmement complexe de rentrer plus avant dans des concepts qui ne sont absolument pas des concepts que vous pouvez appréhender avec votre mental ni avec vos conceptions. Mais néanmoins la hiérarchisation de la vie, telle que vous l’avez bâtie, n’est absolument pas existante. Ce que vous appelez l’alimentation dans votre monde n’est pas du tout conçue comme dans notre monde. Les différences sont énormes mais la différence la plus fondamentale tient au mode de fonctionnement de la conscience. Vous êtes en conscience distanciée. Nous sommes en conscience unifiée. Il n’y a pas de distance entre ma pensée et la pensée de tous les êtres de l’intra terre. Et je m’exprime d’ailleurs à travers un collectif de 24 êtres.

    Vos sciences fictions, vos films sont très loin de la réalité du fonctionnement de la cinquième dimension. Les projections qui sont faites à travers ce que vous avez bâti, à travers ce que vous appelez le septième art, par exemple ou à travers les ondes, appartiennent spécifiquement à des technologies de troisième dimension. Dans la cinquième dimension, nous n’avons que faire de la technologie extérieure, notre technologie est une technologie de l’Esprit, une technologie mentale. Il nous suffit de vouloir créer pour que la création se fasse par agencement de Lumière. Ceci est valable aussi bien pour nos habitats, du moins ce que vous appelez habitat. Ceci est valable pour toute manifestation tangible dans notre réalité. Il suffit d’y penser clairement de manière synthétique, de manière authentique afin que la matérialisation se fasse à partir des canevas de Lumière.

    Rappelez-vous de ce que je vous disais, la Lumière ne se présente pas et n’évolue pas de la même façon dans le monde dans lequel vous vivez (qui est un monde infra luminique) que nous (dans notre monde supra lumineux) où l’agencement de la Lumière obéit à la pensée, ce qui n’est pas le cas dans cette dimension que vous avez bâtie.

    Message intra-terre

    http://francesca1.unblog.fr/

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  • Et si nous arrêtions de nous sentir coupables ?





    Combien de fois par jour vous sentez-vous coupable pour quelque chose ? D’avoir marché sur le pied de quelqu’un dans le métro, d’avoir dit un mot de travers, d’avoir parlé trop vite, d’avoir réagi à chaud de façon trop vive, d’avoir causé de la peine à quelqu’un, d’avoir annulé un rendez-vous…

    Si vous êtes comme moi, il y a de fortes chances que vous vous sentiez coupable pour à peu près tout et n’importe quoi. Parfois on se sent presque coupable d’exister, d’être là, de prendre du temps à quelqu’un qui a sûrement mieux à faire que de nous parler.

    STOOOOOP !!!

    Le sentiment de culpabilité NE SERT A RIEN !!! Non pas qu’on puisse faire du mal à tout bout de champ sans jamais se poser de questions. Ce n’est pas du tout ça. Ce que je veux dire c’est qu’une fois que la chose a été faite… c’est déjà bien trop tard pour sentir de la culpabilité. Est-ce que vous pourrez la réparer grâce à ce sentiment, fondamentalement négatif et désagréable ? Non. Alors à quoi bon ?

    Vous comprenez ? Sentir de la culpabilité après avoir fait quelque chose qu’on regrette ne sert à RIEN. Et puis, pourquoi s’auto-punir avec ce sentiment négatif ?

    Ma croyance profonde est que lorsqu’on fait quelque chose qu’on considère comme une erreur, c’est que c’était la SEULE façon pour nous d’apprendre une leçon. Une leçon qui nous était nécessaire pour avancer.

    A partir de là, si seulement nous acceptons de bien vouloir chercher cette leçon, nous la comprendrons, et ne referons plus jamais la même erreur. Si en revanche nous nous fouettons avec la culpabilité, nous n’avançons pas.

    Aussi, chose très importante. Vous pouvez dire ou faire la même chose à plusieurs personnes différentes, et il n’y aura pas deux réactions identiques. Pourquoi, à votre avis ? Parce que ce n’est pas ce que vous faites ou que vous dites qui compte ici. C’est que ce ça réveille en ces personnes. Ce sont leurs programmes internes, leurs souvenirs, leur vécu, leurs peurs. Même si vous marchez sur le pied de quelqu’un dans le métro, il peut se mettre à pleurer parce que le sentiment que ça va lui évoquer ce sera « tout le monde me fait toujours du mal ». Mais VOUS, vous n’y pouvez rien.

    Encore une fois, ce n’est PAS une raison pour aller faire du mal aux autres sans compter. Et bien évidemment, ça ne nous empêche pas non plus de dire « Pardon ». Il faut juste arrêter de se faire du mal à soi même. Si on est malheureux, on ne peut pas faire du bien aux autres.

    Remplaçons la culpabilité par la responsabilité. Et la responsabilité, tout simplement, c’est le fait de se dire « Ok, j’ai fait ça. Maintenant quoi ? Qu’est ce que je peux en retirer ? Comment faire pour ne plus reproduire la même chose ? Qu’est ce que j’avais besoin d’apprendre ? »

    Et curieusement, plus on réfléchit comme ça, plus on remplace la culpabilité par la responsabilité, plus on se dit « ce qui est arrivé, j’en suis responsable » au lieu de se dire « tout est de ma faute »… Et plus on apprend, plus on avance, et plus on fait des choix justes et bénéfiques, pour soi et pour les autres.

    Namaste.

    Liliya Reshetnyak
    http://lily-sunrise.blogspot.fr/2013/11/et-si-nous-arretions-de-nous-sentir.html

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  • Êtes-vous bien incarnés ?



    par Arouna Lipschitz

    Afin d’évaluer notre rapport à l’élément terre, tentons de voir combien nous sommes heureux d’être incarnés ou combien nous sommes prisonniers de la nostalgie d’un paradis perdu. »On ne peut se libérer de sa tristesse que si on aime cette terre d’une passion inébranlable », a dit Don Juan à Castaneda.

    Une fondamentale tristesse est ancrée dans le traumatisme de la séparation. Séparation du corps de la mère pour les psy., du corps de Dieu ou des étoiles pour les spiritualistes. La nostalgie qui en découle nourrit, dans tous les cas, un idéal de fusion, d’élévation visant à transcender « la vallée des larmes » que représente, pour de nombreuses traditions, notre passage sur terre. Comme si évoluer ne consistait qu’à fuir le monde et la dualité intrinsèque à la condition humaine.

    Et s’il fallait aujourd’hui involuer en même temps qu’évoluer ? C’est ce défi que lança un maître de sagesse occidental au swami en robe orange – femme prêtre dans la tradition hindoue – que j’étais devenue. Je n’aspirais alors qu’à transcender la souffrance, la déception, la frustration et autres effets incontournables de l’incarnation, en marchant vers les sommets nirvaniques et leur mystique sérénité (voir encadré). Comment tendre vers le ciel sans mépriser la terre, s’ouvrir au divin sans renoncer à son humanité ? En honorant la terre. C’est ce que nous rappelle la tradition chamanique, véritable gardienne d’une spiritualité, qui n’oublie pas que les racines célestes de l’Arbre de Vie que nous sommes ne peuvent se manifester, se concrétiser, sans une solide prise de terre.

    Notre pouvoir de transformation

    Comme elle transforme les graines, les déchets et le fumier, la terre nous modifie en permanence, via notre alimentation, notre respiration, nos échanges avec l’environnement. Personne n’échappe à cette grande école d’alchimie organique. Ainsi, volontairement ou à notre corps défendant, nous sommes tous soumis à la pression concrète de l’énergie matière et de son complice, le temps. On peut la subir avec tristesse et mélancolie, la fuir dans les joies transcendantales ou l’accompagner en développant en nous, par l’éveil et l’élargissement de conscience, son intrinsèque pouvoir de transformation.

    Se sentir bien avec la terre, être bien dans sa peau, car le corps est notre terre personnelle, et, en ce sens, il est le plus fidèle miroir de notre acceptation de l’incarnation. Apprendre à gérer les contraintes de l’existence avec un grain de bonne humeur, sans se laisser emporter dans la spirale négative du mécontentement, aide à cela. Commençons par observer nos réactions face aux petits tracas ordinaires, aux contretemps qui s’enchaînent, aux harcèlements du répétitif, aux objets qui nous résistent et semblent nous narguer : de l’ordinateur qui crashe à la voiture qui ne démarre pas, des clés qu’on ne trouve plus, au plombier qui n’arrive pas, etc.

    Nos réactions sont le miroir de notre compétence à opposer une intention de régénération à chaque sensation d’impuissance, à transformer le négatif, à amplifier le positif. C’est cela incarner la paix, la joie, la lumière ici-bas, sur terre, dans le monde et avec le monde. Comment réagissons-nous à ce qui nous résiste ? Où en sommes-nous entre la passivité face à l’existence et aux autres, qui signale le côté « victime » de celui qui tend à subir et l’agressivité de celui qui préfère forcer, manipuler les événements et autrui ? Sommes-nous plutôt souples ou fermes face aux événements ? Du côté souplesse, sommes-nous dans l’énergie positive ou négative de l’élément terre ? Ne confondons-nous pas souplesse avec mollesse, détachement avec laxisme, docilité avec dépendance, être imperturbables avec être indifférents et froids ? Et lorsque nous équilibrons la qualité réceptive, la force imperturbable de la terre, en manifestant son aspect solide, ne confondons-nous pas solidité avec dureté, efficacité avec intransigeance, être affirmé avec être intraitables ?

    En cas de dérapage

    En cas de dérapage, enfoncer les doigts dans la terre pour lui demander de transformer, dans ses laboratoires alchimiques, le négatif, vos difficultés physiques, vos découragements, vos lourdeurs d’âme. A défaut d’un jardin, vous pouvez toujours consacrer une plante verte à cet usage et vous servir symboliquement de l’index comme conducteur. Si vous croyez aux anges, vous pouvez appeler l’ange de la terre pour qu’il vous assiste dans les transformations en cours. Il suffit de lui demander de nettoyer votre corps éthérique, ce double subtil du corps physique, de son poids de chagrins et de désespérances. Il ne vous laissera pas tomber dans ces chaos qui annoncent toujours un renouveau. Vous pouvez aussi répéter comme un mantra la fameuse formule de Marc Aurèle : « Mon Dieu, donnez-moi la sérénité d’accepter les choses que je ne puis changer, le courage de changer celles que je peux et la sagesse d’en connaître la différence. » Tout cela vous aidera à trouver une place tranquille sur la terre sans devenir austère, planant ou trop terre-à-terre. C’est tout l’art de vivre la tête dans le ciel et les pieds bien sur terre avec le goût de vivre, manifesté par la vitalité et l’enthousiasme pour alliés. C’est alors qu’on peut dire avec Guitta Mallaz que « porter le poids de la terre n’est pas un fardeau mais une grâce car c’est seulement ainsi que la lumière peut trouver sa bien-aimée, la matière en nous. »

    Vivre le ciel sur terre

    « Tout le monde veut être illuminé… c’est bien. Mais Dieu n’a pas créé cette terre pour voir ses enfants flotter dans un état de nirvana et, dans cette félicité, se détacher du reste du monde et de leurs frères humains…

    Vous devez comprendre qu’aujourd’hui, il faut une évolution spirituelle involutive, une descente… Il faut réussir à faire descendre l’esprit dans la matière. C’est cela la véritable réalisation de l’Esprit : amener la lumière dans nos pensées, nos sentiments, nos actions, et dans chaque cellule de notre organisme. Nous devons vivre le ciel sur la terre, la lumière dans la matière et dans notre vie. C’est comme cela que nous pourrons contribuer à la création d’une nouvelle Terre. »

    Extrait de Dis-moi si je m’approche

    Vu sur http://channelconscience.unblog.fr/

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