L’appel de l’âme

Et pourtant n’est-ce pas l’amour l’essence-ciel ? l’âme-our (lumière) devient alors cette expression non plus de ce que l’on croit être ou ne pas être mais l’interaction non-séparé en acceptant de ne pas avoir de teneur à ces personnages que l’on semble jouer.

C’est parce que l’ego se bats pour survivre dans des concepts que nous nous attachons à la souffrance de manière fortuite sans que l’on s’en rende compte.

Ne reste-t-il alors pas qu’à reconnaître lorsque celui-ci se manifeste et en devenir observateur plutôt qu’employé ?

Lorsque vous vous arrêtez face à un coucher de soleil n’est-ce pas cela le bonheur ? Cette immersion totale qui vous ouvre à cette grandeur, comme si la source n’avez plus de retenue et que vous étiez fusionné ?

Vous êtes ce que vous avez décidé d’être dans les premiers balbutiements, mais lorsque l’on s’exerce à pratiquer la pleine conscience de chacun de nos actes ou pensées c’est être pleinement présent, il n’y a alors plus à chercher mais à accueillir cet instant présent co-créateur. En le pratiquant nous permettons à l’âme de s’abreuver, de se nourrir et de s’exprimer comme une respiration. Ainsi nous ne sommes plus soumis à comment les choses devraient être ou comment nous souhaiterions nous réaliser mais à juste rester l’expression de cette profonde union.

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