Connaitre ses outils créatifs pour laisser la source dessiner sa vie
- Par reikiland
- Le 01/10/2016
- Dans Textes Lumière
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Nous recevons beaucoup d’infos de part et d’autre et cela peut nous rendre confus à moins d’affiner ses sens, d’apprendre à reconnaitre la vibration du cœur, à lire les messages de l’âme au travers de tout ce que nous voyons, ressentons et vivons.
J’ai relu le message des êtres de lumière à propos de l’avenir et je me réjouis de constater à quel point j’ai changé ! Comment je vis maintenant à l’intérieur et au quotidien, dans la relation aux autres.
Mes mondes intérieurs sont maintenant pacifiés, libérés des croyances et réflexes conditionnés basés sur la peur. Je sais ce qui a le plus de valeur et comment interagir avec tout ce que je suis.
Le potentiel de communication, de communion, le potentiel créatif, c’est-à-dire la possibilité de projeter vibratoirement ce qui pour le moi est essentiel, de le manifester dans ma réalité quotidienne est maintenant acquis.
Comprendre de quoi nous sommes faits et comment gérer nos pensées, nos émotions, les énergies qu’elles véhiculent, est indispensable si on veut créer en conscience.
Il est nécessaire de savoir quels sont nos outils de création et comment ils fonctionnent.
Les qualités christiques, cristallines, la transparence, la vérité, la spontanéité, l’authenticité et la simplicité, sont à développer tout comme le désir d’unité, d’harmonie, d’amour pur.
En considérant les choses d’un point de vue énergétique, vibratoire et en sachant sans aucun doute que l’esprit précède la matière, on va pouvoir changer son regard sur soi, sur les évènements de notre vie et sur le monde.
En appréhendant l’amour, la liberté, la paix comme des fréquences vibratoires, des énergies, les croyances mondaines vont peu à peu devenir obsolètes et se dissoudre d’elles-mêmes.
Nous sommes des créateurs et nous disposons de la liberté de choisir, de choisir nos croyances, notre vision et donc de modifier notre état d’être.
C’est un immense pouvoir qu’on trouve dans l’observation neutre et silencieuse de soi, de ses mondes intérieurs, subtils.
Dans ce retour au cœur, à soi, à notre nature essentielle, on va apprendre à lire avec les yeux du cœur, de l’âme. On va développer les outils de perceptions, les sens, l’hypersensibilité devient l’outil par excellence. Celui qui nous permet de ressentir, de pressentir, de voir au-delà de la forme mais aussi en elle. On va pouvoir lire l’immense bibliothèque que constitue la nature, les règnes, notre propre corps qui est construit à son image.
On retrouve l’innocence, la pureté, la capacité de s’émerveiller. La crédulité vis à vis de nos visions, de notre ressenti et non par rapport au monde et sa façon de fonctionner. Quand on sait que tout commence et se réalise en soi, on ne perd plus son temps à critiquer, à dénoncer ou à essayer de changer le monde.
On utilise l’effet miroir pour se situer intérieurement et les gestes qui émanent du cœur, notre comportement se cale sur la fréquence de la source.
Il faut pour cela comprendre comment on peut reconnaitre l’intuition, recevoir les visions et pour ce faire, qu’il faut savoir s’ouvrir.
Ouvrir son cœur, utiliser les yeux de l’âme, de l’esprit et savoir que les croyances sont aléatoires, que ce sont juste des balises sur notre route.
La vérité absolue n’est pas accessible mentalement mais on peut déjà la vivre en soi, être transparent, honnête envers soi-même, intègre dans nos choix.
On parle beaucoup de l’importance de guérir l’enfant intérieur parce qu’il possède toutes les caractéristiques indispensables pour pénétrer les mondes subtils et pour recevoir.
L’enfant sait naturellement ce qui est juste et il se réjouit d’apprendre, de connaitre, de comprendre, de partager, d’échanger. Il sait aussi rêver, imaginer, jouer aborder les choses dans l’instant avec légèreté.
S’ouvrir à recevoir l’inspiration demande déjà de faire la paix en soi.
On ne peut pas cesser le flot des pensées d’autant plus que la plupart d’entre elles sont inconscientes, automatiques, mais on peut apprendre à s’en détacher.
Plus on est dans l’attente et plus on se ferme. On projette mentalement, on spécule à propos de ce qui est, de ce qui devrait être et on passe à côté de ce que l’instant présent nous offre. On ne voit pas en ce qui est, le message de la vie, l’invitation à juste observer, à s’ouvrir, à être attentif.
C’est dans ce positionnement, cette ouverture d’esprit, cette confiance, que la vision s’éclaire et que l’intuition peut être reçue, perçue et comprise ou validée.
Être ouvert signifie de ne pas s’attacher aux croyances du monde, aux croyances collectives basées sur la peur et la culpabilité qui entrainent le repli sur soi et le sentiment d’indignité, d’impuissance.
L’enfant sait qu’il peut tout et qu’une force supérieure est au-dessus de lui.
Il ne le vit pas comme une frustration mais ça lui donne la force d’être qui il est puisqu’il fait confiance à la Vie, à cette force mystérieuse qu’il connait sans même en être conscient. Il la connait parce qu’il suit son cœur, il agit de façon spontanée, selon sa vérité du moment.
Il ne s’agit pas de redevenir un enfant fragile qui dépend d’une autorité extérieure, il s’agit de prendre conscience que l’autorité, tout comme l’innocence sont en nous.
Que la source qui nous anime, est le guide, la force, la sécurité, le réconfort, que cette source est le père et la mère de tout ce que nous sommes et par-dessus tout, que nous sommes éternellement unis.
Réunir, rassembler touts les aspects de l’être, retrouver la source père mère en soi et lui confier notre vie, nos pensées, nos sentiments, nous place au centre de nous-mêmes, dans la plénitude de l’être.Voilà qui fait encore parfaitement écho…
« Ne cessez jamais de vous considérez en élève de la vie, tout ce qui demeure autour de vous vous enseigne. Prenez le temps d’observer »
— « La boîte à idées » de Lulumineuse
Hier ou avant-hier, je ne sais plus, j’ai parlé à la source en ces termes : « Présence divine, merci d’accueillir dans ton amour lumière, les pensées critiques par rapport au fait que je n’arrive pas à trouver la motivation, la force d‘agir ».
Je sens que chaque fois que j’agis par la volonté du mental, de fuir, de s’évader ou de forcer quelque chose, je perds la guidance, je ne suis plus connectée à la Vie. Je vais m’allonger un peu…
L’intention qui pousse à agir est essentielle parce qu’elle détermine la vibration, l’énergie qui va nous porter.Lorsque c’est la volonté du mental qui se manifeste, on peut être sûr qu’il tente de contrôler, de forcer les choses, qu’il agit selon une stratégie d’évitement, de rejet, de fuite, qu’il tente de camoufler une peur, de donner une réponse à une question.
Quand on s’en aperçoit, il suffit de trouver ce qui a généré le comportement, quelle pensée en est à l’origine, ou quelle émotion il a voulu refouler, puis de confier cela à la source père mère.
Juste dire la peur, la question qui nous taraude, et laisser les émotions s’exprimer sans retenue.
On va toujours ressentir le soulagement, la paix qui vient de cette confidence, de cette reconnaissance et de l’offrande, du fait de se confier à la source.
Les êtres de lumière dans leur message » Demain « parlent des ravages du secret et je suis parfaitement d’accord avec leur point de vue. A mesure que j’apprends à lire avec les yeux du cœur, de l’âme, je vois que ce que j’ai vécu enfant contient tous les potentiels d’éveil. J’ai souffert du secret et cela m’a poussé à chercher intensément la vérité. Plus qu’une simple curiosité, c’est devenu une quête et un état d’être.
Le secret nous enferme dans les jeux de rôle et il dissimule toujours quelque chose de terrible, d’inavouable, nourrissant la culpabilité et le déni.
Plus on cultive l’amour en soi, la transparence et plus on se rend compte du caractère universel de l’humain, de l’amour. On se détache de notre histoire personnelle.
La découverte des jeux de rôles par Karpman tout comme celle des stéréotypes, des archétypes qui est connue depuis que l’humain étudie les astres, a mis en évidence tous les personnages que peut jouer un individu et au-delà de ça, l’être véritable, divin.
Plus on est transparent et plus on pense qu’on va être vulnérable. Pour cette raison on se cache systématiquement derrière toutes sortes de rôles. L’humain a de tous temps utilisé des masques pour se cacher de lui-même pour ne pas se regarder tel qu’il est en vérité et pour maintenir l’illusion de se qu’il croit être, de ce qu’il veut laisser paraitre.
La société actuelle et d’ailleurs depuis longtemps est constituée sur des croyances faussées, sur de fausses vérités, elle exprime ce que chacun vit à l’intérieur, elle en est la somme ou le reflet.
Pourtant, c’est dans la transparence seulement qu’on peut savoir qui on est en vrai.
Tous les conflits, toutes les manipulations extérieures sont l’exacte réplique de ce qui se vit en chacun. Quand je rejette ma vulnérabilité, quand je refoule mes émotions, dans le monde, les enfants sont maltraités, les animaux, tous les êtres les plus vulnérables en souffrent.
Ça peut sembler insensé mais à mesure qu’on apprend à se connaitre véritablement, ça devient une évidence. On peut en faire l’expérience directe dans les situations que nous vivons au quotidien.
Bien évidemment ça ne veut pas dire que nous sommes coupables puisque tant qu’on ignore de quoi nous sommes faits, il s’agit plutôt d’irresponsabilité.
A mesure qu’on comprend comment fonctionnent les énergies, qu’on ressent l’inter-reliance, ou l’unité avec tout ce qui est, en cultivant la paix en soi, on voit comment notre quotidien change, on ne réagit plus avec autant de violence lorsque quelque chose nous heurte. On apprend à choisir les pensées qu’on veut voir se matérialiser et on se libère de la culpabilité parce qu’on constate qu’elle est un enfermement, que c’est une énergie au même titre que la peur, qui n’a pas de raison d’être ou de réalité.
Pourtant lorsqu’on comprend que nous matérialisons notre quotidien selon la vibration qui émane de nous, on va passer par une phase où on se sentira coupable, impuissant et c’est bien naturel puisque nous n’avons aucun moyen de contrôle sur nos pensées conscientes et inconscientes. Elles émergent spontanément sans qu’on le veuille.
C’est là où on peut rester enfermé dans la culpabilité tant qu’on ne comprend pas que la source est aux commandes et que le pouvoir créateur émane de cet aspect de soi.
C’est vrai que ça n’est pas évident à comprendre.
Le mental a le choix de sa vision, de son interprétation des faits, de ses croyances, des pensées qu’il veut chérir ou sur lesquels il veut se focaliser. Ça peut sembler peu de chose mais c’est immense puisque cela va déterminer la vibration dominante, celle qui manifeste la réalité.
Les croyances influencent notre mode de pensée, notre comportement et notre vision de nous même et du monde. C’est en apprenant à les lâcher qu’on va comprendre comment nous fonctionnons et reconnaitre la vibration qui émane du cœur.
Plus on va se tourner à l’intérieur et plus on va développer la confiance en la source, en l’intuition et donc en soi. On va accueillir tout ce qui avant nous troublait au lieu de le rejeter et c’est cela qui va changer les croyances.
On va apprendre à se laisser guider par la vie, par la joie et c’est ainsi qu’on va mieux comprendre où se situe le pouvoir créateur.
Envisager l’individu et le monde d’un point de vue énergétique, vibratoire, révèle l’interconnexion entre toute vie, le fait qu’il s’agit de cocréation.
L’âme nous guide vers le meilleur et elle seule peut le faire parce qu’elle a une vision élargie des faits, une connaissance complète des êtres en interactions avec nous.
L’âme et l’esprit se complètent puisque chacun d’eux à un point de vue spécifique au sujet de la vie. L’esprit a une vision totale, une connaissance théorique si on peut dire et l’âme a une connaissance relative à l’expérience.
En tant qu’humain, nous sommes à la fois matière, esprit et expérience vivante, mouvement. Nous créons le meilleur pour nous-même dans le respect de toute vie, dans le respect de l’autre, de ses choix, lorsque nous suivons l’élan du cœur parce qu’il réunit tous les aspects de l’être.
On a humanisé la source pour s’en faire une idée mais ça n’est qu’en ressentant cette vibration spécifique, en apprenant à la reconnaitre, à aligner notre volonté, nos énergies, notre vibration à la sienne qu’on est dans notre plein potentiel.
Nous comprenons/ressentons, que la source est un ensemble d’énergies, de pensées, de sentiments et d’intentions spécifiques, celles qui caractérisent l’humain dans toute sa beauté, sa noblesse, son intégrité.
En maintenant notre attention sur le désir de paix, d’amour inconditionnel, de vérité, on libère peu à peu les pensées douloureuses, les conditionnements, les conflits internes, les croyances basées sur l’illusion de la séparation.
Il y a eu des orages hier, de la pluie qui a bien arrosé le jardin et j’ai été ravie de constater une fois de plus combien j’avais eu raison de suivre mon envie de sortir et d’être au jardin toute la matinée. J’ai pu me remplir de lumière, de soleil et profiter de sa chaleur et ensuite de la fraicheur qui m’a permis d’allumer le four.
Quand on suit son instinct, son intuition, son désir, la vie devient magique et les petites choses sont perçues dans toute leur beauté simplement parce qu’on est dans l’unité, l’intimité et la reconnaissance de la source en soi.
C’est cette connexion consciente qui rend la vie belle, complète et donne le sentiment de sécurité, de liberté, d’être en accord avec tout ce qui est. Je vois comment ma relation aux voisins change à mesure que cette connexion intérieure se consolide. Même si ce changement n’est pas spectaculaire, l’énergie qui sous-tend mes paroles, mes gestes, est de plus en plus bienveillante, confiante et pacifique.
Je constate chaque jour l’effet bénéfique de l’amour que je cultive à l’intérieur, entre tous les aspects de l’être. Je m’ouvre aux autres naturellement sans plus souffrir de leur attitude, sans croire que je doive me protéger ou me méfier.
Là encore, ça n’est pas le mental qui commande, c’est le cœur qui orchestre tout, au-delà de toute forme de contrôle, de jeux de séduction, de pouvoir, dans la liberté, la joie, la spontanéité et la simplicité d’être.
Le fait de cultiver un jardin m’a beaucoup appris au sujet de la cocréation parce que tout est là, les matériaux, les éléments, le fait que ce soit la nature qui donne le rythme, la source qui créé et la position de l’individu dans ce processus: l’intention du cœur.
L’heure est venue pour moi, de rêver en grand, de prêter attention aux envies de l’enfant intérieur, aux visions, de laisser les images émerger spontanément sur l’écran du mental. Une nouvelle phase dans le processus de cocréation consciente maintenant que le mental émotionnel sont pacifiés et unifiés.
Je ne voulais pas anticiper, visualiser mentalement un futur probable mais apprendre à m’ouvrir afin de recevoir les visions spontanées dont je ne peux douter de la provenance.
Laisser l’émotion s’exprimer sans la juger pacifie le corps émotionnel et on apprend à être réceptif, ouvert et donc à pouvoir capter les visions, reconnaitre l’intuition.
Quand on comprend que les corps subtils sont des outils de création, les pensées émotions deviennent des crayons de couleur. Puis quand on comprend qu’il faut juste laisser venir l’imaginaire, que c’est un message de l’âme ou même une vision futuriste, on sait qu’il suffit de tenir le crayon et de laisser la source donner l’impulsion au geste qui va tracer le dessin. Tenir le crayon, c’est rester aligné à la source en soi, savoir que c’est elle qui impulse le mouvement et qu’il faut juste lui faire confiance, se laisser porter.
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr
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