Au moment où l’on s’y attend le moins, tout se passe bien !
- Par reikiland
- Le 08/01/2016
- Dans Textes Lumière
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Au moment où vous vous y attendez le moins, vous trouvez en vous la force nécessaire pour avancer ; vous vous levez, vous décidez de vivre, et ça vous réussit. Car le calme vient toujours après la tempête, et il n’y a pas d’exceptions à cette règle.
Au moment où vous vous y attendez le moins, vous vous retrouvez vous-même, vous commencez à être qui vous voulez être, vous faites ce que vous avez envie de faire,vous arrêtez de vous inquiéter en vous obstinant à tout faire pour ne pas décevoir les autres, et vous allez là où vous voulez vraiment aller.
La plus grande prison, c’est celle de votre esprit
Il faut donc comprendre qu’au lieu de vivre dans la hâte, mieux vaut avancer dans le calme, apprendre de chaque moment, aussi mauvais soit-il, car on peut tirer profit de chacune des choses qui nous arrivent dans la vie.
On sait pertinemment que vivre, ce n’est pas facile ; mais, naviguer en haute mer et résister au va-et-vient de notre barque, ça l’est encore moins.
Néanmoins, aucun chemin n’est impraticable, alors si on tombe mille fois, on se relèvera mille et une fois.
Et un beau jour, vous commencez à remporter quelques batailles
Tôt ou tard, toutes les pièces finissent par s’assembler. En attendant, riez-vous de la confusion, vivez le moment présent et comprenez que tout arrive pour une raison.
Soyez fort, résistez, et travaillez pour vous battre sans peur, car moins on essaie de faire face, plus il est difficile d’y arriver. La vie, c’est ce qui arrive aujourd’hui, pas demain.
On a pour habitude de dire que quand on touche le fond, on ne peut plus aller plus bas ; on n’a donc plus qu’à prendre impulsion et se tirer d’affaire. Le secret, c’est de regarder vers le bas, de prendre appui, et de sortir.
Dans la vie, quand on touche le fond, le secret, c’est de ne pas se mentir, d’admettre et d’accepter ce que l’on refuse de voir, de valoriser ce que la tristesse vient nous dire, et de panser nos blessures émotionnelles.
Le soleil finit toujours par briller !
La souffrance est plus grande quand on n’a pas de solution. On recherche la stabilité et la permanence, mais on ignore qu’en fait rien n’est figé, que ce qui est construit s’écroule, que ce qui est voulu finit par ne plus l’être, que ce qui est possédé se perd…
Accepter que note vie soit continuellement en mouvement, c’est une façon pour nous de prendre impulsion et de se tirer d’affaire pour voir le soleil.
On a été brisé, mais on a été capable de panser nos blessures, de pardonner les autres et de nous pardonner nous-même.
On doit accepter d’être faible, car on a bien trop peur de toucher le fond. Le secret, c’est de ne pas laisser le bateau partir à la dérive, de ne pas se laisser aller. Être courageux, c’est faire des choses qui nous coûtent, c’est mettre le coeur à l’ouvrage.
Lorsque l’on abat les murs énormes qui sont érigés devant nous, un nouvel horizon s’offre à nous.
On voit le monde différemment, et on avance en silence dans la vie en gravissant des marches plus dures à atteindre que les précédentes qui, de plus, laisseront face à nous un abîme.
C’est donc quand on écoute l’écho désespéré du vide qu’on peut entendre que notre vie nous susurre de résister, car pour être heureux, il faut d’abord être fort.
Source : Nos pensées
http://nospensees.com/moment-y-attendez-se-passe-bien/
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