leçon

J’étais ce qu’on appelle un « homme pressé » et, dans mon cas, cela signifiait aussi un « homme stressé » : papiers administratifs, factures, comptes, prospection des clients. Le quotidien d’une entreprise est passionnant et c’est aussi une tâche lourde à assumer.

Souvent le soir, lorsque je rentrais fatigué après une longue journée, je n’étais pas aussi disponible que je le voulais pour ma famille.

Mes enfants le sentaient bien : « Papa, détends toi, viens jouer avec nous ». Rien n’y faisait, plus j’essayais de me calmer, moins j’y parvenais.

Mamie tu viens jouer avec moi ?
Oui ma chérie, j’arrive.
Elle sort la boite de Lego et je commence à construire un bateau…
Et elle me dit ; Non Mamie ! Pas construire : JOUER !

Ma petite-fille m’a donné une belle leçon sur le sens de l’Être et du faire…
Être ensemble et construire une histoire ensemble.

Pas juste être à côté d’un enfant et montrer qu’on est capable de construire, ça ils le savent.
Pas leur dire du genre ‘tu es assez grand pour te débrouiller toute seule’, ça aussi ils savent, trop souvent.

C’est étonnant cette manie qu’à la vie de nous ramener à l’ordre. N’avez-vous pas remarqué que certaines scènes se rejouent indéfiniment devant nos yeux jusqu’au moment où nous agissons différemment ?

L’exemple bateau est celui où vous quittez votre conjoint. Avec le temps, vous retombez amoureux/se et paf voilà qu’après plusieurs mois –voire années- vous remarquez que celui ou celle-ci a aussi ces caractéristiques qui vous agaçaient tant dans vos précédentes relations.

La leçon à en tirer est la suivante : la vie nous permet de changer de contexte autant de fois qu’on le désire mais le scénario se rejouera jusqu’au moment où nous aurons compris ce qu’il y avait à comprendre. Autrement dit, ce qu’il y avait à changer en nous.

2017 ! Une page éprouvante de notre existence vient de se tourner. Qui d’entre nous n’a pas eu son lot de débordements émotionnels, d’illusions ou désillusions, de croyances infondées et puis de rêves irréalisables ! En 2017 la Lune nous a chamboulée et bousculée de toute part.

Aidé de sa « grande sœur » Neptune, nous avons bien souvent au cours de cette initiation été plus enclin à nous réfugier derrière de futiles nécessités. Et puis il y a le doute. Ce sentiment pesant qui nous empêche d’agir, de voir et d’espérer. Souvent nous avons baissé les bras quand il aurait fallu justement relever nos manches et faire preuve de persévérance. Nous avons cru à l’amour quand il ne s’agissait que d’une effusion d’intérêt amical. Nous avons fait confiance quand il aurait fallu nous méfier d’individu en apparence loyal ou charismatique.

Préparez-vous à un nouveau cycle d’accomplissements, Saturne entrera en Capricorne le 19 décembre

La planète Saturne va faire son entrée en Capricorne. Avec cela, nous allons expérimenter de nouveaux changements d’énergie. Cela ne sera pas comme les autres changements, car cela durera beaucoup plus longtemps.

ANECDOTE :

Lorsque j’entendais certains Travailleurs de lumière se plaindre d’être attaqués par les forces de l’Ombre, je trouvais cela à la fois un peu excessif et surtout j’y voyais une façon de ne pas vouloir accepter ce qui devait être rééquilibré en eux ; car on attire à soi ce que l’on vibre.

Seulement, depuis quelques temps – particulièrement ces derniers mois – je me suis rendue à l’évidence : l’Ombre utilise effectivement nos points faibles pour enfoncer le couteau très loin où çà fait mal. J’en suis moi-même victime. A tel point que j’en ai eu des crises d’angoisse. Je vais vous raconter mon expérience, mais avant, comprenez bien ceci :

ANECDOTE:

J’ai passé mes vacances d’été à la montagne avec mes parents.

L’ambiance, pesante et tendue, a réveillé de vieux souvenirs de mon passé que je croyais révolus. Un stress constant a accompagné mon séjour baigné par des paysages féeriques et des balades réellement magnifiques. De belles vacances un peu gâchées… malgré tout.


 

Dans notre passé s’inscrit le chemin que nous avons tracé pour arriver là où nous en sommes aujourd’hui. Ainsi, notre passé a donc une grande influence sur ce que l’on pense, ce que l’on dit, ce que l’on fait ou encore sur les différentes stratégies d’affrontement que l’on met en place. Les expériences vécues, les leçons tirées, les personnes que nous avons connues ou ce que nous avons appris au fil de la vie font partie de la personne que nous sommes aujourd’hui.

Combien de fois avez-vous essayé de contenir ou de maquiller votre tristesse ? Depuis notre plus jeune âge, nous recevons des messages de la part de la société qui nous disent que l’on ne peut pas se permettre d’être triste, qu’il faut être courageux(se), qu’il faut être fort(e) à tout moment, qu’on ne peut pas échouer, qu’on n’apprend rien de la tristesse…que la joie est la seule émotion désirable et qu’elle nous fait du bien. Une joie, bien sûr, elle aussi contenue : elle ne doit ni être régulée, ni basculer dans l’euphorie.

Il est clair que la tristesse est une émotion de valence négative, mais…et si on la transformait en une émotion qui apporte quelque chose de positif, et si on était capables de l’accepter comme une émotion à part entière et d’en tirer des leçons ? Et si au lieu de l’enfermer, on lui octroyait un peu d’espace ?