culpabilité

Un des grands paradoxes de l’être humain, c’est celui de vouloir être spécial, mais pour autant, d’avoir peur de briller. Qui donc n’a pas envie d’être reconnu et admiré ? Nous avons tous besoin que les autres voient nos qualités, ou mieux encore, qu’ils les remarquent.

Or, beaucoup se sentent intimidés au moment de sortir du lot. Presque tout le monde, en réalité. En effet, pour sortir du lot, il faut aussi s’écarter un peu du groupe, ne pas rester dans le troupeau. En d’autres termes, se situer dans le registre de ce qui est différent. C’est de là que vient parfois cette peur de briller.
 

Se remettre d’un abus émotionnel implique tout d’abord de traiter une expérience traumatisante ayant miné notre estime de soi. Nous devrions pour cela éviter de culpabiliser, l’erreur n’étant jamais commise par celui qui fait confiance, par celui qui donne tout pour une relation. Le “délit” se situe dans la personne qui ment, dans la personne narcissique et malsaine qui fonctionne à travers la manipulation, le chantage et l’abus psychologique.
 

Hello les Âmis


Aujourd’hui j'aimerais vous parler des regrets du passé. Ces choses ou situations que nous regrettons avoir faites ou que nous regrettons n'avoir pas faites. Comme si les choses auraient pu être différentes, être meilleures.

Et bien mes chers Âmis laissez moi vous dire que cela est ABSURDE !

Très chères flammes,

J’avais vraiment hâte de vous retrouver et je suis heureuse de m’adresser aujourd’hui, aux flammes qui sont en séparation et qui pour certaines m’ont fait part de ce qu’elles traversent en ce moment.
En effet, cette période de fin d’année apporte son lot de joies, de nostalgies et de doutes, pour ceux et celles qui se sont quittés en termes définitifs, ou bien celles et ceux qui ne peuvent se retrouver en ce moment.
Beaucoup de ces flammes se sentent coupables d’avoir coupé le lien de la relation avec leur autre et s’inquiètent maintenant d’avoir peut-être perdu l’opportunité de faire partie de la vague de réconciliation ou de réunion de cet hiver.

Si vous vous culpabilisez plus que nécessaire, vous renforcez, davantage, une tension exagérée et ainsi vous bloquez ce que vous essayez d’oublier, d’expliquer parfois, de comprendre et d’admettre.

Il est évident que vos réactions vous appartiennent mais elles ne sont pas toujours les seules responsables d’un conflit, de paroles blessantes, etc.

Nous ne vous disons pas cela pour vous décharger de vos responsabilités, cependant, sachez qu’il vous arrive d’être acculé par certaines forces venues …d’ailleurs !!!

Comprenons-nous bien.

« Nous avons très souvent parlé du pardon car il a une immense importance, importance beaucoup plus que vous ne l’imaginez parce que le non-pardon génère parfois de très gros problèmes dans votre corps physique ; vous faites croître l’énergie de non-pardon qui est associée à l’énergie de peur et à l’énergie de culpabilité, ce qui forme un cocktail bien souvent destructeur.

Il est donc nécessaire faut vous arriviez à déprogrammer ces énergies.

Votre vie prendra un nouveau tournant si vous éliminez ces 20 barrières mentales

La véritable force réside dans le lâcher-prise. Nous devons être assez courageux pour éliminer les choses qui nous accablent. Nous pouvons avoir des ailes, mais nous ne planerons jamais comme des aigles si nous gardons des cordes attachées au sol. Arrêtez juste une minute, et si vous n’avez pas déjà commencé, commencez à méditer.

Vous ne verrez jamais vraiment ce qui vous pèse, à moins que vous ne voyiez vraiment les vieilles choses inutiles qui sont dans votre tête. Nous continuons à penser à beaucoup de choses inutiles, et je crains que nous ne le fassions beaucoup plus que nous ne le devrions.

Combien de fois avez-vous essayé de contenir ou de maquiller votre tristesse ? Depuis notre plus jeune âge, nous recevons des messages de la part de la société qui nous disent que l’on ne peut pas se permettre d’être triste, qu’il faut être courageux(se), qu’il faut être fort(e) à tout moment, qu’on ne peut pas échouer, qu’on n’apprend rien de la tristesse…que la joie est la seule émotion désirable et qu’elle nous fait du bien. Une joie, bien sûr, elle aussi contenue : elle ne doit ni être régulée, ni basculer dans l’euphorie.

Il est clair que la tristesse est une émotion de valence négative, mais…et si on la transformait en une émotion qui apporte quelque chose de positif, et si on était capables de l’accepter comme une émotion à part entière et d’en tirer des leçons ? Et si au lieu de l’enfermer, on lui octroyait un peu d’espace ?

Comment gérer les émotions difficiles ? Comment les accueillir, et faire en sorte qu’elles ne nous restent pas entre la gorge ? Je partage avec vous tous les outils pour se libérer facilement de ces vagues émotionnelles qui nous assaillent parfois.

Comment est votre ciel intérieur ? En préparation d’orage ? Bleu pur ou légèrement nuageux ?
Si vous désirez que les nuages des pensées et émotions noires ou grises ne se transforment en orage ou en grisaille de souffrance permanente, il est nécessaire de les libérer.

Physiquement, les décharges électriques d’un orage se produisent à différents niveaux. En principe, ça fait du bruit, des éclairs, ça peut faire peur ou au contraire, laisser en admiration devant tant d’expression d’énergie… :